Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (6)
Datte: 10/02/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... Tu n’imaginais pas nous voir ainsi, face à face, complètement nues.
Je me rends compte que je suis sur la pente glissante du désir et que je n’ai plus la force – ou l’envie- de me retenir. Je vois tante Petra regarder mes seins avec admiration. Je craque :
— Ils te plaisent ? Si tu veux les toucher, ne te gêne pas.
C’est sorti naturellement. Je vois ses yeux briller, tandis que ses mains se posent sur mes seins. Le contact me fait frissonner. Maintenant ses doigts palpent, soupèsent, caressent. Puis, elle commence à titiller mes tétons avec le bout de ses doigts, puis à les rouler entre le pouce et l’index. J’essaie de résister, mais lorsque je ressens un début d’excitation, je capitule :
— Mmmm ! C’est bon … Ne … ne t’arrête pas !
Elle me sourit :
— Ça te plait, n’est-ce-pas ? … Attends, je vais changer de place.
Elle se lève et vient s’asseoir à ma droite, puis me fait placer sur le côté. Maintenant je lui tourne le dos. Je sens ses mains passer de chaque côté de mon torse et saisir mes seins qu’elle masse avec une certaine vigueur. Je sens son souffle chaud dans mon cou, puis sa langue qui passe sur ma joue, jusqu’à mon oreille. Je frémis en sentant la pointe de sa langue lécher le pavillon de l’oreille.
— C’est bon, hein ? Ça t’excite, on dirait.
Elle me chuchote cela, tout en jouant avec mes seins. Elle disait vouloir apprendre de moi, mais on dirait bien qu’elle a quelques habitudes. Je me décide à lui en toucher un mot :
— Tu n’es pas ...
... si novice que cela, on dirait ?
— Non, mais, pour tout dire, ce ne sont que des connaissances livresques, que je mets en pratique pour la première fois. Un ami a pu se procurer des livres coquins, pour ne pas dire plus, lors d’un voyage à l’Ouest. Et comme il a eu la chance de les passer à la douane …
Elle a un petit rire de contentement. Puis je sens sa langue passer sur mon cou, puis revenir à mon oreille. Ses mains massent mes seins ; parfois elle excite les tétons en les roulant entre le pouce et l’index. Ma respiration devient plus forte.
— Mmmm ! Tu n’imaginais pas ta tante te faire plaisir de cette façon, n’est-ce-pas ?
Je suis en train de lâcher prise. Maintenant, mon corps réclame ses caresses. Je tente quand même :
— Tante Petra, nous sommes folles, n’est-ce-pas ? On devrait, peut-être, s’arrêter …
C’est dit sans grande conviction et elle le sent bien.
— Allons, je te sens frémir de plaisir et tu me racontes ces sornettes ! Je te croyais vraiment dévergondée … je me suis trompée ?
— Non, non, mais comme tu es ma tante et qu’en plus tu es en visite chez nous …
— Ah … je vois. Ton père qui nous surprend : « Mais c’est bien ma sœur qui fait des choses cochonnes avec ma fille ! Et chez moi, en plus ! »
Elle a dit cela sur un ton un peu comique en imitant la voix de mon père. Je ne peux m’empêcher de sourire et je tourne la tête vers elle.
— Je ne suis qu’une demie tante, pas vrai ? Pour le reste, pour faire plus simple, appelle-moi ...