1. Perversion en famille (6)


    Datte: 10/02/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Docmature, Source: Xstory

    ... gémissements. J’abandonne sa bouche et je m’accroupis pour avaler la belle bite paternelle. Je l’entre au plus profond que je peux, mes lèvres touchent presque ses bourses d’où un léger haut-le-cœur qui s’arrête dès que je ressors sa queue. Quelques mouvements manuels de va-et-vient et je la réintroduis. Papa semble apprécier de plus en plus cette pipe et crispe fortement ses doigts sur le sommet de mon crâne.
    
    — Ouiii, Laureline, continue de sucer ton papa, tu sais si bien t’y prendre, ahhh, ahhh.
    
    Puis je ne garde que son gland en bouche, que je pompe avec délectation, avant que seule ma langue suce l’extrémité de son sexe, comme une belle sucette qui m’aurait été offerte et que je dégusterais avec gourmandise. Une de mes mains est entre mes jambes et je branle mon bouton d’amour avec frénésie. Malgré l’eau qui coule, je sens que ma chatte est trempée et mon jus couler sur mes cuisses. Je me relève...
    
    — Baise-moi, mon papounet d’amour, ma chatte est en feu et j’ai besoin de ta bite tout de suite, je ne peux plus attendre, vite...
    
    Mon père me saisit alors et d’une seule pression, enfonce sa queue raide de désir dans mon vagin. Il s’ouvre le chemin entre les parois trempées avant de venir buter contre le fond de ma chatte. Cette pénétration bestiale me fait pousser un cri sauvage. Papa passe alors ses mains sous mes fesses et me soulève. Mes jambes encerclent ses hanches afin de m’arrimer solidement à lui, mes bras entourent son cou. Il plaque mon dos contre la ...
    ... paroi carrelée de la cabine et débute alors le ramonage de mon sexe, une défonce sans aucune retenue qui me fait hurler de plaisir à chaque coup de boutoir. Papa est tombé dans notre piège, mais cela n’empêche pas que je jouis comme une folle. L’orgasme me transperce, je hurle, un cri que même le bruit de l’eau qui coule ne doit pas couvrir...
    
    Papa sort brusquement sa queue et me pose ; je m’assois sur le sol, car mes jambes n’ont plus la force de me porter, la bite paternelle juste en face de mon visage. Et je vois arriver sur moi des jets de sperme, j’ai juste le temps de fermer les yeux avant qu’ils m’atteignent. Papa crie un rugissement de bête fauve. Je suis recouverte de son foutre, même mes cheveux ont reçu cette délicieuse semence visqueuse. J’ai tellement joui que tout mon corps se relâche et j’émets un puissant et continu jet d’urine qui éclabousse les jambes de mon père avant de terminer sa course sur la paroi vitrée de la cabine.
    
    C’est alors que la porte de la douche s’ouvre, c’est maman...
    
    — Merde Nicolas, c’est pas possible ! Dis-moi que ce n’est pas vrai ! Tu ne viens pas de baiser Laureline quand même, ta propre fille ! Et sors de cette douche, tout de suite.
    
    — Christine, mon amour, s’il te plaît, laisse-moi t’expliquer.
    
    — Dégage de là, va dans notre chambre et attends-moi, tu vas l’avoir ton explication !
    
    Papa sort de la salle de bain, tout penaud, sans même s’être rhabillé. Maman me fait alors un grand sourire avec un clin d’œil.
    
    — Ton plan ...
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