Maggie, Maman et Moi (3)
Datte: 10/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
À présent que je connais toute l’histoire, je me dis que Madame Maggie aurait pu faire une belle carrière dans le cinéma, ou dans la politique. Elle maîtrisait à sa façon l’art moderne du "story telling". Ou du mensonge... Mais n’anticipons pas. Pour l’heure, je la tiens dans mes bras pour un au revoir bousculé par bien des émotions. J’ai senti que madame Maggie avait envie. Envie de quoi, je ne savais dire exactement. De moi ? D’une situation sexuelle qu’elle n’avait plus goûtée depuis trop d’années ? Envie de me parler encore de Solange ? De tout cela à la fois ?
J’ai soulevé d’une main sa robe légère, le long de sa cuisse, tout en l’embrassant, elle y mettait soudain plus de fougue, entre deux pelles que nous nous roulions elle disait "c’est mal", je répliquais "oui, mais c’est bon". Elle se laissait caresser le haut de la cuisse, alors ma main est passée sur ses fesses, pas très rebondies, mais je les ai flattées en douceur, elle m’a dit que je la caressais bien. Elle m’a invité à la tutoyer alors que je lui disais "j’ai tellement eu envie de vous".
— Non, c’est mieux ce vouvoiement, ça me plaît de vous parler ainsi comme si nous étions encore vingt ans plus tôt.
Et je suis revenu à sa bouche, ma main est passée sous sa culotte, elle avait la texture du polyamide, le genre de slip qu’une femme honnête et pas trop fortunée achète au Monoprix du quartier. J’ai caressé la peau de son dos, de ses fesses. Elle a osé plaquer sa main contre mon pantalon, a vérifié ...
... l’effet qu’elle me procurait. Elle m’a proposé de se déshabiller. Je l’ai aidée à retirer sa robe, elle s’est dévoilée en soutien-gorge et culotte de couleur chair. Une femme mature toujours désirable.
— Vous êtes magnifique.
— J’ai honte. Je n’en reviens pas de ce que je suis en train de faire avec toi.
D’un coup décidé, presque brutal dans les gestes, j’ai déboutonné mon futal, enlevé mes pompes, et je lui laissais constater ma queue dressée.
— Le voilà, l’effet que vous m’avez toujours fait.
Elle l’a prise dans sa main, a fait un mouvement de va-et-vient, j’ai souri.
— Dans mes rêves, à ce moment précis, j’étais déjà à deux doigts d’une perte totale de contrôle. Aujourd’hui, je sais me tenir. Je sais me retenir. Mais là, j’ai envie de vous. Tellement.
Alors elle m’a poussé doucement vers son canapé. Je m’y suis assis. Elle a retiré sa culotte. Je lui ai avoué qu’avant, j’étais hanté par l’idée d’admirer ses poils. Je me demandais s’ils étaient nombreux, fournis ou pas. Le mystère des poils pubiens d’une femme, c’est le plus obsédant, pour moi.
— Tu vois, je suis naturelle. J’ai aussi des poils sur les jambes, ça ne me dérange pas, personne ne les voit... Ils dépassent de ma culotte, sur l’intérieur de mes cuisses, tu vois. Je ne suis pas bien soignée, je ne savais pas que tu allais venir. J’en ai aussi sous les aisselles.
Elle me les a montrées. Souriait comme penaude. J’ai protesté en souriant à mon tour :
— C’est ainsi que vous êtes, et comme ça, ...