1. Le chat joue avec la souris


    Datte: 10/02/2023, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, vacances, plage, douche, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession, entrecoup, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... si elle voulait tisser un lien entre nos deux couples.
    
    Laure ne se prive pas de gémir. Il faut dire que son mari lui fait du bien même si la possession est puissante avec un côté « animal » de sa croupe offerte et de sa tête tirée en arrière.
    
    Et puis Louis s’arrête. On le voit nettement prendre sa bite d’une main pour la diriger ailleurs. Le feulement de celle qu’il encule est un cri de plaisir. Agnès s’est immobilisée. Manifestement elle aussi est hypnotisée par ce bâton qui paraît encore plus long, mais qui pourtant progresse sans grande difficulté dans ce petit trou qui a déjà dû en voir passer d’autres.
    
    — Putain, qu’est-ce que tu es gros. La vache ! Mais c’est bon.
    
    Ce sont les premières vraies paroles prononcées depuis le début. Elles sont comme un signal. Louis reprend sa baise. Sa femme ne retient plus ses cris. Ils doivent porter au loin et si des promeneurs les entendent, ils doivent se demander ce qui les provoque.
    
    Ce sont les cris d’une chienne qu’un mâle bien membré enfile avec toute sa puissance. Rien à voir avec ce que je sens comme une hésitation de ma femme. Alors qu’elle recommence à bouger, j’ai comme l’impression qu’elle attend quelque chose. Peut-être qu’elle a envie que je…
    
    Je glisse ma main entre nous. Je me saisis de ma queue gluante pour en faire un pieu qu’elle peut utiliser à sa guise. Elle semble hésiter, mais c’est dans sa fente qu’elle s’empale à nouveau.
    
    Elle a hésité, c’est évident. C’est vrai qu’elle a sous les yeux et dans ...
    ... les oreilles tout le plaisir que peut avoir une femme prise par le cul. Mais non. Décidément ce n’est pas son truc. Les rares fois où j’ai réussi, c’est comme si elle se paralysait et devenait inerte. Il est évident que quelque chose la bloque. Pas la douleur, car j’ai toujours été très doux et, bien que très serrée, le gel m’avait ouvert un chemin pas si difficile que ça. Non, c’était dans sa tête. Je n’ai jamais abordé le sujet et d’ailleurs elle non plus. Probablement un verrou de son éducation qui refusait de sauter. Mais j’espérais toujours et ce spectacle ne pouvait que nous servir plus tard.
    
    En attendant, le couple s’embrase.
    
    Mais nous ne sommes pas en reste. J’ai attrapé les tétons de ma femme et je les tords avec délice les tirant vers le haut, vers le bas pour accompagner ses mouvements.
    
    Et puis elle se lève pour venir se replacer, mais face à moi. Elle est belle. Son visage a perdu les traits de la jeunesse pour me monter celui d’une femme qui a du plaisir. Elle m’enlace, elle se cale contre moi, sa tête contre la mienne. Les seuls mouvements sont ceux de son bassin, de sa croupe, de ses hanches, de ses fesses et mon Dieu que c’est bon.
    
    Notre jouissance est presque synchrone. Je me vide en elle alors qu’elle me mord l’oreille comme si elle voulait qu’il y ait que moi qui entende son gémissement…
    
    Lorsque nous revenons à nous, nos hôtes pervers sont partis. Ils ont eu pitié de nous. Je n’aurais pas aimé entendre des « Alors vous avez aimé ? » ou toute ...