Série insolite. Épisode 18 « Sarah » : Perdue et partagée lors d’une partie de poker. Partie 9/13
Datte: 09/02/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... cependant ne désirant pas faire d’esclandre dans le magasin et même si cela m’avait quelque peu émoustillée, je le lui avais reproché une fois montée dans la voiture.
Je pensais que tout était oublié car sur le chemin du retour il m’avait excitée en me fouillant les orifices, j’avais hâte de faire l’amour avec lui. Cependant, une fois arrivés à la maison de campagne, il me retira un à un mes vêtements et une fois entièrement nue, j’étais trempée d’excitation. Il s’assis sur le fauteuil et m’attira à lui : « Tu n’as pas été gentille cet après-midi, tu mérites une petite punition. » Il me tira par ma queue de cheval, m’obligeant à me coucher sur ses genoux. J’aimais les nouveaux jeux et j’obéis volontiers, cela me faisait penser à mon père lorsqu’il mettait une fessée à mon grand-frère par le passé.
Il me mit deux claques sur chacune de mes fesses en me reprochant ma mauvaise fellation. Il ne m’avait pas tapé très fort, néanmoins j’avais ressenti une certaine douleur : « J’oublie cela car tu es parvenue à un bon résultat. » Me dit-il, en me caressant de sa main douce, là où j’avais mal. Cela m’excita un moment mais soudainement, il me remit deux claques, pas très puissantes mais suffisamment fortes pour que ma peau me brûle : « Ça c’est parce que tu as laissé couler du sperme sur le siège que je dois nettoyer à présent. Excuse-toi ! »
Je lui demandai pardon puis il passa délicatement ses mains sur ma peau endolorie. J’avoue qu’une petite coulée d’excitation suinta de ...
... mon vagin, ce jeu me plaisait. Gédéon avait compris, il me donna quatre claques, à la suite pour mes reproches dans la voiture. Cette fois-ci j’avais mal, mes fesses étaient toutes bouillantes, je m’excusai avant qu’il me le demande, je voulais qu’il caresse ma peau qui me brûlait un peu trop : « C’est bien ! tu commences à comprendre. » Rétorqua-t-il, en me caressant et en me léchant la peau de mes fesses. Il me fit mettre à quatre pattes, me lécha l’anus et m’embrassa le derrière, de la cyprine s’écoulait sur mes cuisses. Il n’attendit pas plus longtemps pour me sodomiser puissamment, j’avais encore joui énormément.
Autant Gédéon écoutait au doigt et à l’œil son patron, autant qu’il avait pris l’ascendant sur William pendant nos moments d’intimité. Lorsque je lui avais raconté en détail l’après-midi passé dans les bras de mon amant, même si mon futur mari était totalement contre toute forme de violence, le récit de la fessée le fit bander encore plus. Les choses s’étaient enchainées très vite car la semaine suivante, mon jeune amant m’imposa de me livrer à d’autres hommes sans même demander l’accord préalable à son patron. Quand j’en avais parlé à William, celui-ci n’étant pas contre, j’avais accepté sans crainte. J’avais déjà connu avec Helmut et mon chéri une expérience de la sorte, j’étais prête à tout, pour les satisfaire.
Pendant quatre mois, Gédéon me trouva de nombreux partenaires, je n’avais pas mon mot à dire sur leur physique, la seule chose que William et ...