Le trio
Datte: 09/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Love2share, Source: Hds
... débandaient. Le mec qui venait d’honorer la bouche de ma copine enfila un préservatif et vint se présenter devant sa croupe. Il l’enfila d’un trait arrachant un cri de plaisir à Marianna, qui visiblement prenait son pied. L’autre type s’approcha du visage de ma douce et lui présenta son gland encore gonflé d’où perlait une grosse goutte de sperme. Elle l’emboucha avidement, dirigea son regard vers moi et me fit un clin d’œil.
Ce coup-ci, la scène dura plus longtemps, mais les types n’étaient pas venus pour profiter du moment. Ils étaient uniquement là pour se vider et ils embrochèrent Marianna avec force jusqu’à ce qu’enfin, ils se vident à nouveau. La capote du mec qui – je l’ignorais alors – enculait ma belle finit sur le plancher et son sperme sur ses trous béants. L’autre éjacula en grognant dans la bouche de ma salope qui souriait. Elle garda son sperme en bouche un bon moment pendant que les deux types se rhabillaient.
Puis, comme la première fois, elle recracha le sperme au creux de sa main et l’appliqua avec soin à l’entrée de son con distendu. Les mecs partirent comme des voleurs après nous avoir salué rapidement et remercièrent Marianna.
« On se texte », lança l’un d’eux.
Marianna se retourna vers moi après avoir verrouillé la porte et me défia du regard.
« Alors, ça t’a plu, coquin ? Tu voudrais qu’il y en ait plein d’autres comme ça, toute la journée, toutes nos soirées ? »
« C’était très chaud, lui dis-je. Toi, tu as aimé ? »
« Énormément. ...
... Maintenant, viens me prendre, mon chéri. Mes trous sont bien dilatés et gluants, tu dois en mourir d’envie. »
Je l’attrapai par la main et la conduisis à la chambre avant de la propulser sur le lit. Sur le dos, jambes écartées, elle continuait de se montrer taquine. Je ne pus résister à l’envie de plonger ma langue dans ses orifices ouverts, mais ce fut de courte durée. Ma bite tendue comme un arc réclamait son dû. En quelques secondes, je fus en elle, aussi profondément que mon anatomie me le permettait. Sa chatte n’offrait aucune résistance. Je pris soin de lécher ses seins souillés et l’embrassa profondément. Sa bouche sentait le sexe et goutait le sperme. C’était divin. Je ne croyais pas un jour devenir accro à ces saveurs lubriques. Et pourtant…
Après l’avoir pilonnée avec force pendant quelques minutes, je la retournai et vins poser mon gland à l’entrée de sa rosette défoncée. À peine plus serré que son vagin, son rectum m’accueillit chaleureusement et quelques coups de bassin plus tard, je m’épanchais au fond de sa grotte avec force.
« Que c’est bon de te prendre ainsi souillée et fraichement baisée », lui glissais-je à l’oreille avant de l’embrasser tendrement.
« C’est dingue ce qu’on fait », lança-t-elle, comme si elle venait d’émerger d’un rêve. « Le pire, c’est que j’adore ça. Ça m’inquiète par moments. »
« Pourquoi ? On est complices, on s’aime, ça nous plait à tous les deux, je ne vois pas où est le problème », dis-je.
« Alors tu veux continuer », ...