Comment j'ai chiennisé la meuf de mon pote, le commencement
Datte: 09/02/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Yanis93, Source: Hds
... dessus, « bouffe mes couilles sale pute !!! C’est tout ce que tu voulais !! ». Elle se laisse faire, mieux, elle me dévore les couilles. Sept ans d’abstinence ont créé une chienne en rut, elle les avale, les lèche, bave dessus avant de sortir ma bite qui vient gifler son visage. « Putain elle est vraiment grosse ». « Ta gueule et suce salope ! ». Elle prend ma bite et ne se contente pas de la lécher, elle la mange, crache dessus, remonte des couilles jusqu’au gland, elle se déchaîne. Puis d’un coup elle s’arrête, me regarde avec un petit sourire, sa main autour de ma queue et ma lâche, « tu l’entends ? Ecoute ? Il ronfle là-haut », se marre puis reprend son manège en avalant littéralement ma queue. Je tends l’oreille et j’entends mon pote qui ronfle à pleins poumons juste au dessus. Un déclic. Je la retire et range ma bite. « On va s’arrêter là, on a déjà dépassé les bornes ». Elle me supplie de continuer mais je la prends par l’épaule pour la guider vers l’escalier. « Tu vas remonter, te coucher et on sera bien content de ne pas avoir craqué demain ». Elle colle alors son petit cul sur ma queue humide et gonflée qui continue de déformer mon boxer. Elle se frotte, « prend moi juste un peu, contre le mur comme une chienne. C’est peut-être notre dernière occasion ». L’espace d’un instant je songe à ressortir ma queue pour lui planter directement dans sa chatte qui doit dégouliner mais la raison me maintient, et je la pousse dans l’escalier. Elle monte dépitée. Je me colle ...
... contre le mur, respire un grand coup. J’aperçois à côté de la table basse une boite de mouchoirs, j’en tire un, et je décharge le trop plein de créativité qui m’habite en un temps record. Je m’allonge, ferme les yeux et m’endors. Quelques heures plus tard, la lumière du jour me réveille et tout le monde s’affaire déjà dans le salon. Je me lève, direction la douche. Ca fait du bien. A mon retour aucun regard ne laisse transparaître une quelconque suspicion. En tout cas chez les hommes, je n’ai pas encore croisé Sonia. Un peu plus tard elle arrive dans le salon et fuit mon regard. Elle semble particulièrement gênée de la situation. Les garçons vont dans le jardin pour aider Smaïn dans la cabane à outils, je reste avec Sonia, assise sur le canapé du crime, qui regarde ses pieds. « Tout va bien Sonia ? ». « Non, je suis une salope » me lâche-t-elle avec une voix emplie de culpabilité. Je tente à nouveau de la rassurer, lui rappelant qu’on avait su s’arrêter et que ça peut arriver à n’importe qui. « Oui mais tu es le pote de mon mec, qui fait ça ?! Hormis la pire des traînées… ». A force d’insister elle finit par entendre raison et me remercie, « heureusement que tu nous as arrêté hier, je ne sais pas comment je pourrais faire sinon ». « Ne t’inquiète pas, on avait bu, ce qui s’est passé était exceptionnel et on a su se contrôler ». A peine le temps de finir ma phrase que les potes reviennent dans le salon. Bientôt l’heure du retour, on se salue avant de reprendre la route. Dans la ...