Nymphomane, moi ? Tome II (4)
Datte: 08/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... commandait, mais mon corps, mon sexe... j’étais dans un état second. Je n’attendais plus qu’une chose, me faire baiser par ces hommes dont l’un ressemblait à un gorille et l’autre à un épouvantail. Sa bite immense et dure se frotta contre moi. Pendant ce temps, ses mains descendirent le long de mon dos nu, trouvèrent et ouvrirent la fermeture éclair de ma jupe. Il la fit descendre sur mes cuisses et elle tomba à terre. Il se recula pour apprécier le spectacle.— Oh la salope, t’as vu Ludo, cette petite pute a des bas et un porte-jarretelles ! Elle est splendide ainsi... Putain on va se régaler ! C’est pas normal, qu’elle vienne ici habillée comme ça !— Si... si... minaudais-je... c’est pour vous exciter... vous faire bander... et que vous me preniez l’un après l’autre avec vos énormes bites... j’adore les sentir dans ma chatte... Je veux que vous me fassiez jouir, que je sente votre sperme couler moi !— Quelle Salope, on va lui donner ce qu’elle demande. L’autre jour, elle m’a avoué qu’elle ne détestait pas quelques coups de martinet sur les fesses, je suis sceptique !! Nous allons vérifier ! Attachons-la.Ils me lièrent, bras écartés, entre deux poutres sans difficulté. Ce qui fit saillir encore plus mes seins. Je fis face à son fils, la caméra filma les regards énamourés que je lui lançai.Ludo derrière moi, me caressa lentement le corps, puis sa main s’insinua entre mes jambes. Je me trouvai en porte-jarretelles, bas noirs, soutien-gorge demi-bonnets et talons aiguilles, ...
... offerte au bon vouloir de ces messieurs, qui obéissaient parfaitement au scénario mis en place. Il insinua son majeur dans la fente de mon sexe et fit plusieurs allers et retours.— Garçon, tu t’ amuses un peu, tu lui caresses les seins, la chatte... tu essayes de bien la faire mouiller, je reviens dans un instant...Ludo prit la place laissée vacante par son père. Il se mit entièrement nu, et commença à me caresser le corps. »
Avec mon mari et mon voisin Paul, on put admirer sur l’écran ses pectoraux poilus qui pendaient flasques, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules et ses fesses étaient recouvertes de pilosité.
Mais même devant l’écran de télé, c’est son pénis qui me fascinait. Il était presque noir et en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui procurait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït, j’en avais fait l’expérience quelques jours plus tôt. Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son ...