Fantasmes urophiles en pleine nature
Datte: 08/02/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Etoile, Source: Hds
Cette année-là, j'étais en Finlande pour mes études. L'Erasmus n'était pas obligatoire dans ma fac, mais j'avais tout de même choisi de partir, j'avais envie de changer d'air et quitter un peu la France. Je ne connaissais pas du tout le pays, mais j'avais entendu dire que les gens là-bas étaient bien plus libérés qu'ici. Ca m'a plu, alors j'ai eu envie de découvrir. Je n'ai pas été déçue.
J'avais rencontré Anna, une jeune Finlandaise de mon âge, qui suivait le même cours d'anglais que moi.Nous nous sommes tout de suite bien entendues et faisions régulièrement des sorties ensemble.
Ce jour-là, une chaude journée de printemps, elle avait décidé de m'emmener faire une balade sur l'une des nombreuses îles de la capitale. Nous nous étions donné rendez-vous devant le pont de bois qui reliait l'île à la ville.
Anna m'attendait avec impatience. A peine étais-je descendue du bus, qu'elle commenca à faire de grands gestes dans ma direction. Je me dirigeai vers elle. Elle portait une combishort jaune. Je déteste ce genre de vêtement, que je trouve non-pratique au possible, mais sur elle, c'était mignon. Ca accentuait son petit côté elfique, qu'elle avait grâce à sa coupe de cheveux courte et son petit nez retroussé. En m'approchant pour la saluer, je me rendis compte qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses tétons pointaient joyeusement sous sa combi. Cela m'émoustilla et je me mis à imaginer à quoi ils pouvaient ressembler sous le vêtement. J'imaginais de petites aréoles ...
... brunes surmontées de petits mamelons bruns aussi, rendus tout durs par le frottement sur le tissu.
J'entendis vaguement qu'Anna me parlait, puis elle me tira de ma rêverie en me prenant par le bras. Nous nous mîmes en marche, passâmes le pont de bois, et nous retrouvâmes en pleine forêt. C'était un après-midi de semaine donc l'endroit était quasi désert. Je pris une grande bouffée d'air et appréciai le calme. J'avais du mal à m'imaginer qu'environ 15 minutes plus tôt, j'étais encore dans la ville, dans un bus. Se couper de l'agitation urbaine faisait énormément de bien. Anna m'expliqua que nous étions sur l'île aux écureuils, qui tire son nom de ses nombreux petits habitants à la queue en panache. Le silence de l'endroit était seulement perturbé par le crissement des aiguilles de pin sous nos pas et le froissement des branches de sapin sous le vent.
Anna tendit le bras pour me montrer des écureuils qui se poursuivaient le long d'un tronc. J'approuvais certes la vue des adorables petits mammifères en train de s'amuser, mais les tétons d'Anna retenaient encore plus mon attention. La lègère brise printanière lui donnait une petite chair de poule sur les bras, et ses tétons avaient, me semblait-il, doublé de volume sous sa combi. Je n'arrivais pas à en détacher mon regard ni mes pensées. Je m'imaginais la déshabiller, faire tomber le haut de cette combi que je trouvais moche, dévoiler lentement chaque téton, les caresser du bout du doigt, les sucer, les lécher ...
Perdue ...