La personne qui me brisa (1)
Datte: 07/02/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: ArnaudLe, Source: Xstory
... complètement les trous. Je ne sentais plus rien, n’entendais plus rien, et ne pouvais rien dire. Puis, le collier vint piquer ma peau, me forçant à marcher sur mes genoux et mes poings, partant dans la direction dans laquelle la personne mystérieuse devait me tirer avec une laisse. À ce moment, je pouvais sentir à quel point j’étais excitée.
La marche dura plusieurs heures, je n’avais aucune idée d’où j’étais, et j’avais mal partout. On m’enleva ce qui bouchait ma bouche, avant de forcer ma tête contre ce que je présumais être de la pâtée. Je commençais à tout manger sans poser de questions, toujours dans le noir et le silence. À peine avais-je fini de manger que ma tête fut soulevée avant de me retrouver forcée dans un bol d’eau. Sans réfléchir, je me mis à boire le contenu.
Ensuite, je fus tirée jusqu’à me retrouver sur un matelas. J’attendis quelques minutes sans que rien ne m’arrive, puis j’essayais de bouger. En avançant, je finis par rencontrer quelque chose de dur, comme un mur. J’essayais de partir dans les autres directions, mais j’étais entourée de mur. Alors, je m’allongeai sur le matelas en silence, et j’essayais de trouver le sommeil.
J’ai passé un temps que je suis incapable de connaître sur ce matelas. Parfois, j’essayais de bouger, mais j’étais toujours coincée contre quatre murs. Mes mains et mes jambes me faisaient atrocement souffrir, et j’étais obligé de faire mes besoins dans ma tenue, sentant ma peau être salie par mes propres déjections, alors ...
... que l’odeur devait être affreuse. La seule chose que je pouvais ressentir était une espèce de purée sans goût et de l’eau, seule chose qui m’était offerte. J’étais prête à abandonner, mais je voulais tenir juste un peu plus longtemps.
Puis un jour, je me suis levé, la vue dégagée, les doigts libérés, et les jambes pouvant se tendre à nouveau. Je me massais les parties douloureuses, tout en faisant attention à ce que je voyais autour. Tout était très sombre, mais je pouvais apercevoir un chemin juste en face. Avant de bouger, je défis les bouchons qui empêchaient l’air de rentrer dans mes narines, et les sons entrer dans mes oreilles. Le silence était toujours présent tout autour de moi, mais une odeur infâme envahit mon nez, me faisant presque vomir la bile, seule chose présente dans mon estomac affamé. Malgré tout, mes tétons se mirent à durcir, ma fente lâcha un mélange de mouille et de pisse.
Un plafond m’empêchait de me lever, et je fus obligée d’avancer à quatre pattes. Le sol était jonché de gravier et de cailloux, tout noir, alors que des gouttes d’eau froide tombèrent sur mon dos. Je continuais d’avancer, jusqu’à arriver à un virage. Mais à l’endroit où devait se situer la suite du chemin, je fus surprise de voir un mur se dresser devant moi, et deux bruits étranges provenant d’où je venais attirèrent mon attention. Je fis demi-tour, et repris le chemin. Les bruits provenaient des gouttes d’eau remplacées par ce qui ressemblait à une cascade où je pouvais voir ...