Moi paysanne maîtresse du sexe (9)
Datte: 07/02/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... mieux le choix de Dorothy.
Elle se rhabille et nous rejoignons les filles, nous entendons Alice rire aux éclats, quand nous entrons dans la chambre, elles s’amusent comme des folles en courant autour du lit, Alice poursuit les filles. Elles s’arrêtent quand elles nous voient, Alice se jette dans les bras de sa mère.
— Tu vas bien maman chérie.
— Très bien mon amour.
— Et toi Marie.
— Moi aussi ma chérie.
Vicky se charge d’Alice, je vais voir Jim et Andrew pour faire aménager une chambre pour les filles, elles dormiront dans la même chambre, il y aura deux lits à deux places, à elles de s’organiser. Jim et Andrew sont d’une efficacité remarquable, vers seize heures, tout est prêt. Nous allons voir ce qu’il en est. Leur chambre n’est pas très loin des nôtres, mais à une certaine distance tout de même, il faut quand même garder un peu d’intimité, nous ne sommes pas censées entendre ce qui se passe à côté. Elles disposent de leurs propres toilettes et d’une salle de bain indépendante. Charlotte exige qu’elles prennent un bain tous les jours, ce qu’elles faisaient déjà. Je vois à leurs visages qu’elles sont folles de joie, elles vont pouvoir vivre leur vie, et s’aimer sans contrainte. Britney se précipite sur Charlotte pour l’enlacer et lui faire deux énormes bises.
— Merci madame, merci du ...
... fond du cœur.
Elle est suivie par Nancy et Vicky.
— Vous avez une heure pour vous installer les filles, rejoignez-nous à cinq heures trente.
— Très bien madame.
Elles se précipitent pour aller chercher leurs affaires. Nous nous amusons avec Alice jusqu’à leur retour. Quand Vicky apparaît, Alice se précipite, elle lui saute dessus pour se jeter dans ses bras, Vicky a un peu de mal à tenir son équilibre.
— Dis donc chérie, tu as plus de huit ans maintenant, tu es lourde, je ne suis qu’une femme, je ne peux pas te porter, tu es vraiment trop lourde.
— Alors, viens sur le pouf pour qu’on fasse un câlin.
— Bien sûr ma chérie.
Elles vont s’assoir sur le pouf de sa chambre, elle se blottit contre Vicky, Charlotte est au bord des larmes, je le regarde.
— C’est moi et Bérangère, que de souvenirs !
Je l’enlace pour échanger un long baiser. L’après-midi s’achève, les filles nous quittent pour dîner, elles reviennent une demi-heure plus tard pour nous servir le dîner. J’ai envie de passer ma main sous la robe de Britney et lui caresser ses magnifiques fesses, mais je me retiens, j’ai peur de la choquer. Une fois le repas fini, Vicky emmène Alice dans leur salle de bain pour la laver. Britney et Nancy débarrassent et reviennent.
— Vous prendrez un bain, mesdames ?
— Oui.
— Volontiers.