Une histoire ( pornographique) de famille... (4) - Histoires de Sexe

Une histoire ( pornographique) de famille... (4)

... Nadine, semblant apprécier cette caresse, écartait ostensiblement les cuisses en une invite érotique, il s’enhardit pour remonter vers le haut de la cuisse sous le fin tissu...

Sa voisine, elle, avait placé sa main sur l’entrejambe du jeune homme, comme pour en vérifier l’excitation, sensible au volume appréciable qui se développait dans le pantalon : Greg bandait comme un taureau, avec la main de la mère de son pote sur son sexe en érection...

Un sourire aux lèvres, je replaçai le smartphone dans ma poche, avec dans l’idée de refaire un visionnage un peu plus tard, pour évaluer l’évolution de la situation sous la table... et je repris mon récit !

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La journée suivante fut à la fois excitante et très frustrante pour moi, car ma tante ne lâcha pas ma mère d’une semelle ! Les deux petites putes étaient toujours collées aux basques l’une de l’autre, et ne rataient pas une occasion de s’exercer aux délices de Sapho ! Bien entendu, leurs maris respectifs ne voyaient absolument rien au "drame érotique", qui se jouait quasiment sous leur nez !

Dès qu’elles le pouvaient, à l’abri des regards, elles s’enlaçaient et s’embrassaient goulûment. Lors du repas, sentant quelques coups fourrés, je fis tomber ma fourchette par terre - incroyable comme je pus être maladroit lors de cette funeste journée ! Serviette de table, couteau, cuillère, tranche de pain, m’échappaient quasi continuellement des mains ! - et regardant sous la table, je vis les ...

... deux salopes en herbe, cuisses grandes ouvertes, leurs petites chattes luisantes de cyprine, avec chacune les doigts de l’une, visitant avec ferveur la grotte de l’autre !

La séance de vaisselle dans la cuisine fut également épique ! Discrètement, je jetai un regard vers les deux "sages ménagères", en train de laver les plats, pendant que ces messieurs, discutant dans le salon avec fièvre, de leur prochaine partie de pêche, sirotaient un bon cognac ! Les deux femmes, la robe relevée au niveau de la taille, se trituraient royalement le berlingot, avec leurs doigts enduits de produit à vaisselle !

Ma mère, les yeux fermés, la bouche entrouverte, trouvait quand même le moyen de frotter les assiettes, pendant que sa belle-sœur lui branlait le clitoris, et osa même lui faire pénétrer deux doigts dans la rondelle. Ma mère sodomisée par les doigts de sa belle-sœur, durant une séance de vaisselle, voilà qui n’était pas fréquent !

Un bruit dans le salon, et les robes revinrent à leur place traditionnelle, les deux ménagères sagement occupées à leur apostolat savonneux !

Evidemment, moi qui ne pouvais pas accéder aux charmes plus qu’érotiques et troublants de ma génitrice, je restai passablement frustré et énervé, bien décidé à faire payer la pécheresse, qui m’avait promis monts et merveilles pornographiques, la veille ! Mais j’allais avoir ma douce vengeance, car les deux hommes avaient décidé d’une partie de pêche de trois jours, avec départ le lendemain aux aurores ! ...