Ma cousine par alliance (2) - Histoires de Sexe

Ma cousine par alliance (2)

... fesses. Je commence à avoir une érection. Nous allons nous baigner. Nous restons environ une heure à nager. Après chaque longueur, j’en profite pour la caresser sous l’eau. Nous sortons de l’eau puis allons nous doucher séparément. Nous nous rejoignons puis nous dirigeons vers notre cabine. Laurence retire son maillot de bain, j’ôte le mien. Je prends sa serviette et l’essuie en la caressant. Elle me dit : « Si tu continues comme ça, je ne vais pas tenir longtemps. Il va falloir que tu t’occupes de moi.

— Comme tout à l’heure ?

— Non, j’ai envie de ta queue en moi. Mais pas ici, on risque de se faire griller.

— Mets-toi à quatre pattes sur la serviette, je vais te prendre en levrette.

— Tu es fou. »

Elle se met à quatre pattes. Je me place derrière elle puis la pénètre lentement afin qu’elle sente chaque centimètre de ma queue. Une fois au fond d’elle, je commence de lents va-et-vient. Je lui caresse les seins en jouant avec ses tétons qui durcissent sous mes doigts. Elle aime ce que je lui fais. J’augmente le rythme en la prenant fermement par les hanches. Sa respiration s’accélère. Elle me demande de la prendre plus fort, qu’elle veut bien jouir. Je me déchaîne en elle, faisant tourner ...

... ma queue dans sa chatte, elle prend une serviette pour étouffer ses cris de jouissance. Je me retire et jouis sur son dos. Nous reprenons notre souffle. Je récupère la serviette puis l’essuie. Nous nous rhabillons et quittons les lieux.

Sur le chemin du retour, elle me dit : « J’ai vu que tu regardais d’autres femmes quand nous nagions. Je n’ai pas apprécié. Pour moi, c’est un manque de respect. Si tu en regardes une autre, c’est que je ne te satisfais pas.

— Ce n’est pas parce que je regarde une autre femme que tu ne me combles pas. Si tu ne me faisais pas d’effet, je ne t’aurais pas avoué mes sentiments. Maintenant, si c’est pour me faire une scène à chaque fois que je regarde une autre femme, ça ne va pas durer longtemps. J’ai connu une jalouse maladive et je ne veux pas revivre ça. Je pense que nous allons en rester là.

— Ne t’énerve pas comme ça. Je t’ai simplement dit que je n’avais pas aimé ton attitude.

— Il est préférable que nous n’allions pas plus loin. Je te dépose chez ta sœur et après tu peux m’oublier.

— Comme tu voudras. »

Je dépose Laurence chez sa sœur et lui souhaite bonne chance pour l’avenir.

Quelque temps après, j’appris que Stéphane et Laurence avaient divorcé.