1. Du voyeurisme au passage à l'acte (1)


    Datte: 01/02/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... intérieurement. Elle ne pensait plus du tout à sa transgression, encore moins à son mari qui dormait au même moment dans le lit conjugal. Elle baisait et c’était l’essentiel, tout à côté de son amie Julie, ce qui constituait pour elle une première, ayant toujours pratiqué l’acte sexuel dans l’intimité, fût-elle parfois relative.
    
    Le gaillard allait très loin en elle, il ne la ménageait pas, il la bousculait, il la fouillait sans ménagement et c’était exactement ce qu’elle voulait afin de rompre avec la routine conjugale. Elle aurait aimé riposter pour participer pleinement à cet accouplement sauvage, mais le danseur la neutralisait en la pliant en portefeuille. Julie régla la question en proposant un changement de position :
    
    — Allez les hommes, à vous de vous asseoir, c’est nous qui allons vous baiser maintenant.
    
    Les deux danseurs s’exécutèrent sans rechigner et toujours sur le canapé, qui tenait encore debout, Julie vint s’empaler sur Ronny, face à lui, lui mettant ses seins plantureux dans le nez tandis que Corinne adoptait la position inverse en montrant son cul (qu’elle savait beau) à Edgar. Du coup, c’est lui qui fut subjugué. Il ne se souvenait pas d’avoir eu sous les yeux un aussi beau fessier, charnu, mouvant, bien fendu et il eut la sensation bizarre que sa queue s’allongeait. Corinne dansait sur la pine avec également la sensation qu’elle était devenue plus pointue. Plus question d’affirmer qu’elle était molle. La blonde se laissait tomber sèchement avec ...
    ... délectation, faisant presque totalement sortir le pénis avant de se le mettre bien profond, en prenant appui sur les genoux du jeune mâle. Julie observait le couple d’un œil et constata :
    
    — Ben dis donc, Coco, ne dis pas que tu ne baises pas maintenant. Tu la sens bien cette fois ?
    
    — Ah oui je la sens. Elle est bonne, mmmmhhh. Et toi, elle est bonne, la tienne ?
    
    — Epaisse, comme je les aime, elle me remplit bien.
    
    Corinne répondit par un long gémissement, car Edgar venait d’atteindre une région inexplorée de son intimité, surexcité qu’il était par les propos crus des deux amies. Mais il s’abstint cette fois de tout commentaire et se concentra sur sa tâche, soucieux de ne pas éjaculer prématurément, car il avait désormais conscience d’être tombé sur un coup en or. A nouveau, Julie proposa du changement :
    
    — Allez, maintenant, prenez-nous par-derrière.
    
    Les deux femmes se placèrent à genoux sur le canapé, face au dossier, offrant leur croupe aux deux danseurs qui, à leur tour, leur réservèrent une surprise, à l’initiative du petit brun. Celui-ci fit un clin d’œil à son copain et prit sa place derrière le fessier de Corinne tandis qu’Edgar faisait de même derrière Julie, à la croupe vraiment joufflue, mais tout aussi tentante. Mais l’une et l’autre avaient tellement adhéré au pénis de leur amant préalable qu’après quelques va-et-vient, elles s’aperçurent de la supercherie et tournèrent la tête vers leur nouveau partenaire :
    
    — Oh les coquins ! gloussa Julie, pas ...
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