1. Chemins libertins (7)


    Datte: 01/02/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Jouissance62, Source: Xstory

    ... fessiers. Elle me tendit un tube de gel lubrifiant.
    
    — Mets-en assez, il faut que ça glisse tout seul.
    
    J’enlevai le capuchon du tube et introduisant son extrémité dans l’anus ouvert, je lui en envoyai une bonne rasade. Je plongeai tout de suite deux doigts dans son orifice, ce qui fit gémir Déborah.
    
    — Viens, mets-moi tes doigts bien profondément, défonce-moi.
    
    Je rajoutai un troisième doigt puis un quatrième, les vrillant dans le rectum de la belle. Je bougeai de plus en plus vite, essayant à chaque fois de m’enfoncer encore plus profondément.
    
    Voyant son trou s’ouvrir encore plus, j’essayai de joindre le pouce aux quatre doigts déjà introduits. Ça devenait un peu plus difficile, mais Déborah releva encore sa croupe, ce qui ouvrit un peu plus son anus. Elle avait passé une de ses mains entre ses jambes et caressait à pleines mains sa chatte rasée. Je ressortis complètement mes doigts de l’anus distendu. La vue que j’avais de son anatomie était incroyable. On aurait dit un gouffre insondable. Je rajoutai du gel lubrifiant dans l’orifice et sur ma main. Cette fois, réunissant mes cinq doigts, je les fis pénétrer doucement, sans à-coups. Déborah avait écarté ses fesses et poussait pour détendre son muscle. Elle haletait comme un animal blessé. Tout à coup, toute ma main glissa dans l’œillet de la jeune femme. Elle poussa un cri de surprise et de plaisir mêlé. C’était incroyable. J’avais la main entière enfoncée dans son rectum. La sensation ...
    ... était bizarre. C’était doux, chaud, très gluant grâce au gel.
    
    — C’est bon, c’est bon, vas-y, commence à aller et venir avec ton poing.
    
    Ce que je fis avec plaisir. On aurait dit un énorme bélier qui entrait et sortait de son trou. J’allais et venais de plus en plus vite, de plus en plus durement, lui arrachant des geignements de jouissance.
    
    — Sors ta main complètement et rentre-la de nouveau.
    
    Je la sortis doucement, laissant son anus complètement ouvert puis je la replongeai dans la fournaise. Je fis ce geste plusieurs fois, arrachant à chaque fois un cri à ma tendre enculée. C’est maintenant elle qui rythmait la pénétration en avançant et reculant sa croupe et c’est dans une cavalcade folle, mon poing enfoncé très profondément qu’elle jouit de tout son être.
    
    Ma queue n’en pouvait plus d’attendre. Je me couchai à côté d’elle en lui caressant la poitrine, ce qui eut pour effet de la tirer de sa torpeur. Je présentai mon sexe à ses lèvres qui s’ouvrirent comme une fleur. Je poussai jusqu’au fond de sa gorge, mimant le coït. Elle se laissait faire, avalant l’entier de ma verge en poussant des petits gémissements de contentement. Je n’en pouvais plus. Je jouis puissamment, lui lançant des gerbes de sperme au fond de sa bouche. Elle avala le tout en me regardant tendrement dans les yeux.
    
    — Merci, merci pour cette jouissance merveilleuse, me dit-elle après avoir sorti ma queue.
    
    Elle se blottit contre moi et s’endormit, un sourire aux lèvres. 
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