Second orgasme - Histoires de Sexe

Second orgasme

... cet homme me trouble. M’obliger de le supplier, moi la femme que tout le monde convoite ? Je tombe un peu de mon piédestal, de ma superbe. Il me frustre, mais j’ai tellement envie que je joue le jeu :

— S’il vous plaît, Daddy, par pitié, prenez-moi.

Et là toute la magie de ma supplication trouva enfin grâce à ses yeux. Il entre enfin lentement, m’arrachant des petits cris désormais non retenus. Après tout, ne m’a-t-il pas intimé de me lâcher au niveau vocal. Il rentre profondément en moi me faisant onduler pour aller au plus loin, m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds, jusqu’à relever mon petit cul contre sa bedaine rassurante.

— Oui, voilà, j’aime vous prendre comme cela.

Il commença des allées et venues langoureuses, bien longues, régulières, toujours à la frontière de sortir de moi tout en allant au plus profond. Je rêvais d’un rythme bien plus endiablé. Et comme pour se venger de ce reproche non exprimé, soudain, il me pince les tétons. Cela me fait hyper mal. Je ne m’attendais pas cela de lui. Daddy abat ses cartes et joue sur une douce frontière entre mâlitude et BDSM. Son pincement fort et rapide est en contraste avec le rythme apaisant et régulier de cette queue qui me prend. Je me doute que la fessée ne va pas tarder et m’en délecte d’avance. Je suis tombée sur le Diable en personne.

— Oui, vous prendre comme la belle Pute que vous êtes.

Je suis totalement possédée par mon Daddy qui me tient fermement par les hanches et entre en moi ...

... encore et encore. J’aime ses allers-retours puissants, le sentir irrémédiablement arriver en butée avant de repartir dans sa noble besogne. Il a le rythme lent des coureurs de fond. J’adore ses mots et la façon qu’il a de les envoyer.

— Oui, ma belle Princesse Pute.

La fessée attendue claque enfin pour mon plus grand plaisir. J’adore me faire prendre en levrette et fesser. Ses coups sur mes fesses sont secs et francs. Il continue de me pilonner à son rythme, avec ses mots envoûtants et ses gestes déplacés. Être obligée de me mettre sur la pointe de pieds est un vrai délice. Remonter mon cul qu’il frappe sous ses yeux est un plaisir jouissif. J’espère au fond de moi qu’il finisse par m’attraper les cheveux. S’il fait aussi cela, après le pinçage de tétons et la fessée, je ne pourrais pas tenir longtemps.

— Une Pute comme je les aime.

Je n’étais plus que halètement et petits cris.

— Oui, aimez-moi, Daddy. Défoncez-moi, pilonnez-moi, achevez-moi, je suis à votre merci.

Il m’attrape les cheveux, m’obligeant à me cambrer. Je me fige et coupe ma respiration. Oh oui, le tirage des cheveux tant attendu et tant désiré. Je n’en peux plus et ne retiens aucun bruit. Tout sort de ma gorge, je laisse tout filer, tout échapper, rien à foutre des voisins et de la petite fenêtre entrouverte sur la cour ou tout doit résonner.

— Oui, je vous aime Pute.

Son rythme n’a jamais bougé, jamais accéléré. Toujours aussi long, aussi puissant. Il me pénètre avec cette stabilité ...