1. Kentin 13 Frustration


    Datte: 30/01/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Kentin, Source: Hds

    ... une chape de plomb sur nos comportements intimes.
    
    Je n’ai rien demandé à Corinne, mais je l’ai deviné: sa relation avait du plomb dans l’aile. Les poils en bas de son ventre étaient revenus petit à petit. Parfois le soir, elle me laissait embrasser son ventre, elle prenait alors ma tête et la posait entre ses jambes pour que je lèche là. D’abord au dessus de la culotte puis directement sur le sexe. Je n’y retrouvais plus ses sécrétions mélées avec de son amant. On aurait pu croire que nous en étions revenu à la case départ. Pierre avait quitté nos vies, nous étions à nouveau côte à côte. J’aurais du me sentir soulagé mais je dois avouer que j’étais quelque peu déçu. Je n’étais plus le cocu de madame. Je redevenais son mari à la différence notable près que mon sexe n’avait plus accès à l’antre chaude de ses jambes pour s’épancher de temps à autre. D’ailleurs me l’aurait-elle permis que la peur de l’échec m’aurait paralysé. Ma langue se faisait se rapide sur son bouton, ses gémissements devenaient plus rauques. Elle appelait le plaisir. Il se faisait brutal, son bassin se crispait puis s’immobilisait, mouillé comme jamais. Elle repoussait ma tête. Je savais que devais alors me montrer discret, ne plus lui parler, ne pas me faire remarquer, pour ne pas la mettre en colère. Je savais que c’est la queue d’un mâle qu‘elle aurait voulu dans sa chatte. Et ça, je ne pouvais lui donner. Je m’étendais alors près d’elle. Souvent mes yeux restaient ouverts dans le noir, je m’imaginais ...
    ... enfoncer mes doigts dans son ventre, sentir les détails de la texture de son intimité et enfin les agiter de plus en vite jusqu’à ce quelle expulse un jet de cyprine surpuissant. Mais cela ne m’était pas permis avec Corinne, ni avec les doigts ni avec mon sexe. Les rapports que j’avais elle devaient se limiter à la surface de son corps. C’était ainsi désormais.
    
    Pourtant ces séances de pénétration manuelles je les avais vécues il y longtemps avec Florence du temps de mes années étudiantes. Et ce souvenir remontait à la surface désormais de manière récurrente. Ma relation avec Florence n’avait duré que quelques semaines et je l’avais interrompue bêtement sous le faux prétexte d’examens à réussir. Florence avait un corps dur de sportive et faisait l’amour avec une violence qui me dérangeait. La pratique de la danse et du sport lui avait donné une parfaite maîtrise de son corps. Elle usait de son sexe presque mécaniquement, sans sensualité. Elle savait exactement comment arriver au plaisir. Son partenaire, c’est à dire moi pendant ces quelques semaines, n’était qu’un intermédiaire nécessaire pour jouir de manière brève, efficace et systématique. Elle aimait que je lui fourre deux doigts dedans en guise de préliminaire et que je lui pistonne la chatte sans ménagement jusqu’à ce qu’elle me saisisse le poignet pour m’intimer l’ordre d’arrêter. Elle s’asseyait ensuite sur moi et se frottait à moi. Mon sexe était en elle mais je ne sentais pas grand-chose. Son ventre était ouvert ...
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