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Plus de 15 ans plus tard (1)
Datte: 29/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory
... linge sale, la culotte qu’a porté maman au cours de la journée, celle-là même à laquelle je pensais tout à l’heure, lorsqu’elle n’a pas eu le cran d’aller jusqu’au bout de sa phrase et de me parler de façon plus explicite. Elle l’a posée bien à plat, quand elle est venue se déshabiller pour se changer, une belle culotte en dentelle blanche, de celles classiques et bien enveloppantes. C’est plus fort que moi, je ne résiste pas à l’envie de m’en saisir et d’en porter l’entrejambe à mes narines. Je suis immédiatement ramené plus de quinze années en arrière, transporté par les parfums à nul autre pareils du sexe de ma mère, en proie à une terrible érection qui me contraint à me branler. A nouveau, je me noie dans l’irrésistible et excitante odeur du sexe de maman, dans les effluves si suaves et rassurants de sa chatte, ces odeurs qui tapissent le fond encore tiède et humide de la culotte qu’elle vient d’enlever. Je reconnais l’odeur de son excitation et me rends compte qu’elle a dû mouiller abondamment. C’est si intense, si puissant, que je jouis en quelques instants. Une fois terminé, je dépose la culotte à l’intérieur du panier à linge sale, après y avoir laissé un peu de mon sperme sur le fond. Lorsque demain matin, elle viendra prendre son bain, elle se rendra forcément compte que la veille au soir quelqu’un s’est intéressé de près à la jolie culotte qu’elle avait laissé traîner. Elle saura donc que j’ai repris le même petit manège qu’autrefois. Et le fait est que le ...
... lendemain matin, elle me dit bonjour pleine d’allant. Elle est rayonnante, l’air vraiment heureuse en se penchant vers moi pour me faire la bise — Bonjour ! Tu as passé une bonne nuit ? — Bonjour maman ! oui ça a été. — Je t’apporte ton café... — Merci maman... Il est neuf heures et elle est déjà habillée, ce qui signifie qu’elle a déjà pris son bain, et qu’elle s’est donc forcément aperçue de ce qui s’est passé pour la culotte qu’elle avait sciemment laissé traîner hier soir. Alors que je bois mon café, elle prend place à table en face de moi, m’adressant la parole avec un je-ne-sais-quoi d’impatient et de fiévreux dans la voix. — Dis donc mon petit François... tu... tu as utilisé la salle de bain hier soir avant de te coucher ? Réalisant à quoi elle veut faire allusion, je baisse le regard dans ma tasse avant de lui répondre. — Oui maman, je suis allé me brosser les dents et... et... — Non, ne me dis rien... bon... et tu... non, rien... il faut que je réfléchisse... je t’en reparlerai plus tard... je te laisse boire ton café, je descends faire quelques courses... tu as besoin de quelque chose ? — Heu... non. Lorsque je relève les yeux en rougissant, je m’aperçois que son visage s’est comme illuminé malgré elle, qu’elle aussi s’est mise à rougir tout en fuyant mon regard. Maman dévie immédiatement notre conversation sur autre chose, coupant court à d’éventuelles digressions, et elle s’en va faire les courses. La journée se passe sans que l’on ...