L'avilissement d'Aurore - Partie 09
Datte: 29/01/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byalexandredelafressange, Source: Literotica
... première fois. Des douleurs fulgurantes se font jour sur les fesses, désormais zébrées, de la Cheffe de service. En outre, cette dernière ressent également une souffrance dans les cuisses et les mollets, et ce, en raison de sa position. Elle tire la charrue sur une quarantaine de mètres à la droite du champ. Elle se retrouve avec les sons incongrus de son reniflement nasal et le doux gazouillis des oiseaux dans les arbres. Atteignant la berge herbeuse, elle reçoit un nouveau coup de martinet, cette fois dans le bas du dos. En soulevant ses genoux pour se dégager du sol boueux, elle réussit, non sans de nombreux efforts, à tracter à nouveau la détestable machine.
Ayant remonté tout le terrain, elle commence ensuite le lent et tortueux voyage de retour vers la barrière. Bien qu'épuisée, elle voit ses jambes continuer à avancer et, bien qu'elle se soit toujours maintenue en forme, s'étonne du niveau d'énergie supplémentaire qu'elle doit utiliser. Un troisième coup de fouet l'empêche de réfléchir plus longtemps à sa triste condition. Regardant le cul rond aux fessiers haut perchés onduler devant lui, le fils cadet ressent une énorme érection se dessiner dans son pantalon et a du mal à réfréner ses instincts primaires.
Mais il sait aussi que son vieux n'aimerait pas! Aussi tente-t-il de contrôler ses pensées libidineuses.
Des larmes de désolation coulent sur les pommettes d'Aurore, tandis que de la morve sort de ses narines, courant autour de ses lèvres légèrement ...
... étirées pour rejoindre les ruisseaux de salive qui bavent aux coins de sa bouche. Tout son corps est en sueur, résultant de ses efforts démesurés. Chaque pause lui vaut la piqûre aiguë du martinet en cuir sur son dos, la secouant vers l'avant. Combien de temps encore vais-je labourer? se demande-t-elle, alors qu'elle atteint l'entrée de la prairie et commence un nouveau virage. Elle glisse dans la fange, et incapable de se soutenir avec ses bras, tombe à genoux puis sur la figure. Elle reste un instant allongée, le visage dans la boue moite. Elle devine le simplet qui se positionne derrière et elle sent une torpille, puis une deuxième, s'enfoncer dans son anus :
- C'est l'heure des suppositoires, chérie! ironise-t-il.
Ensuite, la fureur brûlante du fouet se répand sur son postérieur. Elle se met sur le côté et, se tortillant dans la gadoue, parvient à se relever. L'attardé, la prenant par les bras, l'aide à se stabiliser. Elle ne peut pas le voir distinctement car elle a de la gadoue dans les yeux, mais elle sent les pouces de l'homme frotter ses orbites et sa vision revenir.
Il lui lance un regard de mépris : - Regarde dans quel état tu es! Quel désordre! Tu n'es même pas foutue d'accomplir une tâche aussi simple que celle-ci! Tu vaux moins qu'un cheval de trait!
L'assistante n'a pas de réponse. Peut-être qu'il a raison. C'est de toute façon un monologue car elle est incapable de parler avec le bout de caoutchouc coincé entre ses dents, la faisant se sentir encore plus ...