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Elle m'a piégé. (1)
Datte: 01/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
Depuis un peu plus de deux ans, je partage ma vie avec Malaurie, une jeune trentenaire comme moi rencontrée lors d’un séjour à la montagne pour un séminaire d’entreprises. Pendant ces trois jours, nous nous étions un peu regardés ‘en chiens de faïence’. Je trouvais cette jeune femme attirante, mais à l’époque, je sortais d’une relation tumultueuse et je n’avais pas l’esprit à batifoler... J’aspirais à une pause et je voulais prendre un peu de recul par rapport aux femmes et aux aventures sexuelles. Mais j’avais conservé par-devers moi au milieu d’autres documents accumulés au cours du séjour la liste des divers participants sur laquelle figuraient les coordonnées des uns et des autres. Je m’étais bien entendu avec Malaurie lors de travaux en groupe, car nous partagions beaucoup de points de vue communs sur les entreprises et la manière de gagner des parts de marché... Au seuil de l’été et pour savoir ce qu’elle devenait, je l’avais appelée sur son portable en cours de soirée. Pas de chance... j’étais tombé sur sa boîte vocale où j’avais laissé un message en me disant :On ne sait jamais... Il était plus de 23 heures quand son numéro s’est affiché sur mon téléphone ! J’ai répondu immédiatement et nous avons bavardé pendant plus d’une heure et au final, nous avons convenu d’un rendez-vous au cours du week-end à venir... Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’ai vue s’encadrer dans la porte du café où nous devions nous retrouver ! Elle avait fait couper ...
... ses cheveux (qui dans mon souvenir tombaient sur ses épaules) très courts, presque rasés sur les tempes et cela lui allait bien... ça la rajeunissait sérieusement. On aurait presque dit une adolescente... Elle était très légèrement maquillée et vêtue d’un ensemble qui mettait en valeur sa silhouette élancée. La jupe arrivait un peu au-dessous du genou et le buste était pris dans une veste un peu longue serrée à la taille par une large ceinture en cuir assortie à son ensemble. Bref... elle était d’une élégance certaine alors que je n’avais fait aucun effort vestimentaire : pantalon de velours, pull à col roulé sur une chemise, mocassins un peu éculés et blouson de cuir. Nous avons poursuivi le bavardage débuté en milieu de semaine en faisant des commentaires sur tel ou tel participant au séminaire qui nous avait réunis à la fin février. Le dîner s’est passé trop vite à mon goût en face de l’animation du Quartier des halles... Cela n’avait plus rien à voir avec ‘le trou’ de la première version de l’aménagement du quartier. Mais à 23 heures, il était temps de se séparer ou de passer à autre chose ! Et ce soir-là, il n’y eut pas d’autre chose, car Malaurie devait partir de très bonne heure le lendemain pour aller voir ses parents en province... En se quittant, elle m’a dit avec un sourire entendu : — Ne t’en fais pas... On se reverra... On garde le contact ! C’est ainsi que presque tous les week-ends, on s’est retrouvés pour des sorties culturelles, aller au cinéma ...