"Tu te souviens?" (1)
Datte: 28/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mysterious1991, Source: Xstory
... reins. Je sentais ta poitrine ronde contre mon torse. Tes seins sont si tendres et si ronds, Bérénice... On s’est regardés, on s’est souri. Là, mes lèvres se sont attirées les unes aux autres. On s’est embrassés. On y a mis la langue. Moi... j’avais envie de toi. TRÈS... envie de toi, Bérénice. Tu me collais à toi, tu t’en souviens ? Là, tu as gémi, car tu as senti mon sexe frotter contre la dentelle de ton tanga. C’est comme ça que tes caresses ont été soudain plus fermes et que tu voulais que je me frotte à toi. Et tu aimais ça, n’est-ce pas ?
— Mon chat... J’aimais ça. Que je sente ton sexe autant comme ça alors que t’étais encore entièrement habillé à ce moment-là, c’était... Ça m’a... Est-ce que tu te souviens que je me mordais la lèvre ? J’étais tout excitée, j’arrivais plus à me calmer. C’est comme ça que je t’ai plaqué contre le mur qui était à côté de cette espèce de dressing. Tu avais enlevé ton beau manteau léger noir il y a bien longtemps. Tu portais encore ta chemise bleue foncée, ton jean slim de la même couleur et tes Converses All Star. Je t’ai embrassé goulûment et pendant ce temps-là, mes mains se sont ruées sur ta chemise et j’ai commencé à la déboutonner. Ça faisait plus aucun doute que j’avais envie de toi, a... mour. Tu te souviens que je t’ai pris au dépourvu, Théo ? Tu t’en souviens ?
Le temps d’un instant, alors que nous sommes toujours (!) en 69, je fais un flashback, je voyage dans le temps. Effectivement... c’est très clair, même deux ans ...
... après, ce moment précis. On s’embrassait, Bérénice et moi. On se mangeait des yeux. Je voyais très bien à ses yeux à quel point elle était heureuse de se trouver dans cette chambre d’hôtel en ma compagnie. Ses bras autour de mon cou, en lingerie toute blanche, devant moi, elle était très belle. Ah... Ça y est... Il y a bien une chose dont je me souviens. Ça oui ! Elle a posé une main sur ma joue, elle m’a regardé intensément. Ses lèvres se sont posées sur les miennes, doucement, comme une plume. C’était un baiser délicat. Le baiser le plus délicat que l’on m’ait jamais donné jusqu’alors. C’est alors que sa bouche s’est approchée de mon oreille gauche. Elle y a mis un coup de langue. Et puis elle m’a murmuré qu’elle avait TRÈS envie de moi et qu’il était temps pour elle de me déshabiller.
— Je savais que tu étais audacieuse, Bérénice. Combien de fois tu me l’avais montré avant notre rencontre, au téléphone, en photo, par SMS, pendant nos séances de téléphone rose...! Mais là... c’était pour de vrai. Et là, tu avais sorti le grand jeu, n’est-ce pas, pendant que tu déboutonnais ma chemise et que tu braquais tes yeux dans les miens ? Bouton après bouton, tu mettais ma peau à nu et tu me mangeais des yeux. Enfin... Une fois le dernier bouton enlevé, tu m’as retiré ma chemise, elle est tombée par terre, elle a rejoint ta robe. Tu as pris sur-le-champ mon corps d’assaut. Tu te souviens de ce feu qui brûlait en toi, princesse ? Tu t’en souviens ?
— Mon amour... Ton corps contre le ...