Moi paysanne maîtresse du sexe (11)
Datte: 28/01/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... est assise à côté d’elle, elle lit un livre en jetant un œil sur elle de temps en temps. Elle se lève en nous voyant arriver.
— Bonjour mesdames.
— Bonjour Vicky, que lis-tu ?
— Fanny Hill : La fille de joie.
— Et c’est de qui ?
— John Cleland.
— C’est bien ?
— Je commence le livre, c’est une fille qui écrit à une amie pour lui raconter sa vie dans une maison.
— Bonne lecture Vicky à bientôt.
Quand nous sortons de la chambre, Britney me tend un sac.
— C’est ce que je vous avais promis.
Je vais dans la chambre pour le ranger, c’est le double consolateur, il est immense et d’un diamètre important, il a deux boules assez grosses à chaque extrémité.
Ce matin, nous avons deux heures de battement, le château est bien en ordre de marche, le système est bien huilé, même Charlotte, qui d’habitude est surchargée, a du temps pour elle. Nous décidons d’essayer le double consolateur. Nous allons dans notre chambre, une fois nues, je sors le consolateur de son sac, nous nous mettons tête-bêche quelques secondes, quand nous somme suffisamment lubrifiées, nous nous allongeons de manière à amener nos sexes l’un en face de l’autre. Je m’enfonce un côté de consolateur pratiquement jusqu’au milieu, Charlotte s’avance pour se l’enfoncer aussi. Nous avançons jusqu’à ce que nos sexes se touchent, un violent frisson parcourt mon corps, je sens qu’il en est de même pour elle.
Nous commençons à bouger nos bassins, le consolateur entre et sort de nos vagins, ...
... quand il entre dans l’un, il sort de l’autre, je serre très fort mes cuisses, le consolateur se bloque dans mon vagin, je vais et viens dans le vagin de Charlotte en donnant des coups de reins, à chaque coup, je sens son sexe se coller au mien, j’en tire une jouissance certaine, mais ce que je veux, c’est qu’elle jouisse, qu’elle ne sache plus où elle habite que son cerveau disjoncte, qu’elle n’oublie jamais ce moment. Quand nos sexes se touchent, je donne un coup de reins en avant pour que nos lèvres se frottent en espérant que nos clitoris se touchent, ce qui arrive de temps en temps. Je la sens se tendre lentement, elle accompagne tous mes gestes, elle aussi veut me faire jouir. Je tends mes bras vers elle, je réussis à attraper ses mains.
Je tire vers moi, elle fait la même chose, nos sexes sont collés l’un à l’autre, le consolateur entièrement enfoncé dedans, l’onde envahit mon corps et explose en un millier de feux d’artifice, je sens qu’elle aussi jouit en même temps que moi. Nos fesses sont à dix centimètres du lit, nos corps ne forment qu’une arche tendue l’un vers l’autre. Nous nous détendons lentement, quand nos fesses touchent le lit, je me libère du consolateur, pivote et viens poser mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un long baiser en nous caressant, je la sens détendue, souple, disponible, je l’aime de plus en plus. Quand nos têtes se séparent, je vois ses yeux illuminés de bonheur, elle me sourit, je pose ma tête sur son épaule.
— Je t’aime ...