1. Expérimentations


    Datte: 28/01/2023, Catégories: ff, forêt, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... monture n’était pas assez haute pour nous désarçonner : nous glissons plutôt que nous descendons de ce tronc bénéfique. Deux belles taches de mouille imprègnent le vieux bois, c’est tentant. Je lèche la place de Colette, elle lèche la mienne. Nous en rions et nous nous embrassons, tant qu’à faire ! Moi, je ne me lasse pas de son goût et de sa bouche. Je crois qu’elle me le rend bien.
    
    Balade en forêt
    
    Je m’interroge : ai-je révélé les démons cachés de Chantal, ou est-elle plus libérée du cul que je n’aurais cru ? Sa branlette impromptue sur cet arbre desséché était trop tentante pour ne pas l’imiter. D’ailleurs, la seule vue de sa belle chatte embrassant le tronc lisse avait déjà réveillé mes propres diablotins. En léchant le souvenir humide qu’elle y a laissé, je me prends à penser que le bois aurait été plus mouillé par un autre liquide. Chantal avait raison : je dois être une grosse cochonne ! N’empêche, cette idée me turlupine toujours quand nous partageons ce énième baiser corsé.
    
    — Tu n’as pas envie de pipi ? ne puis-je me retenir de lui demander.
    — De ton pipi, ou de faire pipi ? rit-elle, amusée de mon semi-lapsus. Tu veux encore me voir faire ? Parce que là, on n’a pas beaucoup bu, mais si ça te fait plaisir…
    — Non, si, enfin, quand ce sera le moment, moi non plus je n’ai pas besoin… Plutôt la gorge sèche… un peu d’eau serait la bienvenue !
    
    Je bredouille mes mots en ramassant le sac. Il m’a semblé voir une ombre de déception dans ses yeux, mais je me ...
    ... trompe peut-être. Je lui tends une anse, elle la saisit en me rendant sa culotte et repart d’un pas décidé. Elle brandit mon short comme un fanion à suivre (elle doit se croire cheftaine de jeannettes, qui sait ?), mais elle a raison de nous presser : l’après-midi avance et il fait soif. Nos mignotages doivent y être pour quelque chose, la cyprine et la sueur n’étant que peu désaltérantes… Pourvu qu’on trouve cette source !
    
    C’est sûr qu’en tennis on marche mieux. Nous méprisons les ronces d’un pied négligent, nous traversons les fourrés en riant de leurs caresses piquantes sur nos cuisses, nous bousculons les branchettes qui fouettent nos épaules. Chantal ouvre la marche d’une poitrine conquérante, sans paraître se soucier des rameaux qu’elle écarte. Après tout, c’est elle qui a les plus gros seins, normal qu’elle soit devant ! Du coup, les branches les plus souples me reviennent droit sur les lolos, mais cette flagellation est stimulante, au fond.
    
    D’ailleurs, ma position arrière me procure une compensation. J’ai une vue imprenable sur ses belles fesses qui se dandinent superbement. Lorsqu’il y a une montée, c’est encore mieux : je peux carrément pousser son postérieur pour l’aider. Je m’en fais une obligation : donner un coup de main à une amie, c’est la moindre des choses… Le passage d’un vieux muret est un moment délicieux. Un pied près du rebord supérieur, un pied en bas, elle m’offre un beau grand écart. Pour ne pas la laisser dans cette position critique, j’empaume sa ...
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