Relation toxique (22)
Datte: 27/01/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: simson3, Source: Xstory
... accueillit Jérôme et Sonia au sol et c’est cette fois-ci avec son amant que cette dernière se positionna une fois de plus en 69, se délectant maintenant d’un organe mâle réchauffé par le tunnel d’amour de son amante mais, surtout, nappé de son onctueux nectar.
— Humm, ça c’est bon, se réjouit la mère d’Alicia. Ça c’est à mon goût !
— C’est meilleur qu’après que mon mec m’ait enculée ? demanda candidement Jasmine en frottant la nuque de son amante.
— C’est... plus épicé, je dirais, à ce moment-là, répondit l’autre en s’allouant une pause afin de prendre la parole.
Elle ajouta, juste avant de reprendre l’organe en bouche et d’en recevoir le jus épais en pleine gueule:
— Mais ça dépend toujours de ce que tu auras mangé quelques heures auparavant !
— Dis donc, t’es une belle criss de cochonne, toi ! sembla s’indigner la rouquine en lui refilant une taloche sur la fesse. Je croirais entendre ta fille quand tu me parles de la sorte !
C’est avec un doigt masculin bien enfoncé dans le cul et une langue énergique sur son clito que Sonia connut à son tour la jouissance, laissant par sa bouche involontairement béante échapper des filets de sperme qui retombèrent sur l’abondante toison pubienne de Jérôme.
Délaissées par leur homme, les deux espiègles s’étaient réinstallées sur le canapé, Sonia faisant goûter à sa compagne, par un nouveau langoureux baiser, les relents de la semence de son mari.
— Je suis heureuse pour nos filles, affirma Jasmine au terme de ...
... ce dernier échange. Leur vie va enfin reprendre son cours normal.
— Tu as raison, chérie, mais je crains tout de même un peu ce qui se passera lorsque ma fille confessera à la tienne ses frasques avec la Docteure Fortin.
— Ouais, t’as raison. J’avais presque oublié. Mais elles en ont vu bien d’autres, tu crois pas ?
— Si. Tu as encore raison, je te le concède. Mais chose certaine : elles vont sûrement rester marquées par le départ de Catherine.
***
Toujours convalescente, Sophie s’adonnait à une sieste régénératrice dans l’ancien lit de Catherine. Dans l’intervalle, Alicia et Evnika relaxaient doucement dans le lit conjugal des tourterelles, au terme d’une petite sauterie entre gouines retrouvées.
— Je ne sais comment te remercier, Evnika. Tu m’as redonné ma petite biche avec l’attitude mentale normale qu’elle manifestait auparavant, et avec tous ses souvenirs intacts.
— Je vous devais bien ça, répondit l’autre avec un sourire. Tout est bien qui finit bien !
— Pas tout à fait, mon amie. J’ai toujours ce fardeau sur mon cœur. Cette confession. Ces aveux...
Elle se tourna vers la Scandinave:
— Quand devrais-je le lui dire ?
— Le plus tôt sera le mieux, Ali. Tarder davantage ne fera que laisser pourrir la situation.
— Le courage me manque. Elle a déjà tellement souffert ! Pourquoi alourdir de la sorte le poids de ses peines ?
— Tôt ou tard, elle l’apprendra. Si ce n’est pas par toi, tu auras alors le double fardeau d’avoir à lui expliquer ...