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Gaëlle et Régis - C'était un jeudi
Datte: 27/01/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Madame Gaëlle et Soumis Régis, Source: Hds
... propre elle me dit : « Va faire le dîner ! » Je me dirige vers la cuisine, suivi par ma femme. Je perds ici et là des gouttes de sperme. « Bien. Tu as la queue qui pleure. Il faudra que tu t’y habitue car j’aime te voir ainsi. » D’un seul coup, elle redevient la femme que j’ai toujours connue et commence ses conversations habituelles à nos soirées. La seule différence est que je suis nu. Alors, cela t’a-t-il plu ? Je n’ai qu’une réponse en tête c’est oui. J’ai compris que j’attend déjà sa prochaine sodomie mais comment lui dire. Je l’avoue simplement. « Ce sera un « plus » et non un « à la place ». Nous aurons toujours des rapports sexuels comme auparavant mais quand je le désirerai, je te soumettrai comme je viens de le faire car tu as compris. La sodomie est un moyen et non une fin. La fin est de te soumettre. Accepte-tu d’être mon soumis ? » Je réponds oui sans hésiter. « Quand nous sommes seuls, c’est oui Madame ! » Je réponds « Oui Madame. » Après notre dîner, nous avons débarrassé et mis le lave-vaisselle en marche avant de nous coucher. Je fus autorisé à uriner ce qui mis fin à ma perte de sperme goute à goute. Le matin de lendemain, après avoir pris notre douche Gaëlle s’installa pour un missionnaire et me dit « Au travail, esclave ! » Nous fîmes l’amour d’une manière très classique et après qu’elle eut dégusté son orgasme j’attendai son autorisation pour pouvoir éjaculer quand elle me dit : « Retire-toi ! Pendant un mois, ta seule possibilité ...
... d’avoir un orgasme sera pendant que tu sers sodomisé. » J’obéis. Je compris une fois habillé ce qu’elle voulait. Son refus de me laisser éjaculer m’avait mis sous pression. J’avais une envie permanente de faire l’amour. Et comme je savais que je ne serais délivré que par sa sodomie, je réfléchissais à ce que je pouvais faire pour obtenir celle-ci. Je soir même, Gaëlle entrepris de me masturber. Elle me connaissait mieux que la paume de sa main et s’arrêta exactement au maximum de mon excitation avant mon éjaculation. « Et maintenant, tu mon fais un bon cunni ! » J’entrepris donc ce que je savais être sa préférence. Un long cunnilingus sans hâte en prenant soin d’avaler régulièrement et ostensiblement ses secrétions jusqu’à son orgasme. Je terminai par des mouvements de langue en évitant son clitoris trop sensible à cet instant. Elle vérifia ensuite le drap avant de m’ordonner : « Lèche-moi le sperme que tu as perdu ! Je m’exécutai. Ensuite, elle entreprit de me nettoyer la queue dans une fellation très agréable qu’elle arrêta juste avant que je puisse éjaculer. « Dans la mesure du possible, je pratiquerai deux edgings par jour. » Et elle tint ses promesses. J’en retirai énormément de plaisir et ne pensai plus qu’à une chose. Pouvoir éjaculer et donc amener ma femme à me sodomiser. Si vous avez aimé notre récit, faites-le nous savoir car nous l’avons écrit à deux, Gaëlle et moi, Régis. Dans l’affirmative, nous publierons une première suite : « Une autre fille entre dans la ...