Saint-Tropez (4)
Datte: 27/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: papamambo, Source: Xstory
... voulu m’impressionner avec son porte-clés Ferrari ; l’élevage de chevaux ne semblant pas être dans le domaine de ses préoccupations ni de ses aptitudes, il a le profil à tenir deux secondes sur une selle avant d’en être éjecté.
Un autre me parle de son voilier et me demande si j’en ai un... à Cody...
— Mais, putain, ils sont tous comme ça tes collaborateurs ?
— Accroche-toi mon chéri, c’est le haut du panier, me répond-elle en riant.
— Niveau des pâquerettes...
— Et si nous allions boire un verre chez nous, déclare Annie, nous avons quelques excellents Bourbons qui devraient plaire à Bob.
— Très bonne idée, renchérit Emilie qui semble être un peu lasse de cette soirée soporifique.
— Ma voiture est suffisante pour nous quatre, donc je fais le chauffeur.
— Je ferai ramener la mienne et la vôtre demain, déclare Emilie, nous avons des conducteurs employés pour cela.
Et nous voilà partis, Franck à mes côtés, me guide dans la zone haute vers Ramatuelle où je me gare devant une jolie villa pas gigantesque, mais très bien agencée entourée par un jardin d’agrément magnifiquement éclairé ; ça sent le très bon standing sans tape à l’œil.
L’intérieur est décoré avec un goût très sûr de modernisme confortable.
— Prenez place, nous dit Annie, aidée par Emilie, qui connaît bien la maison, sort des verres, du champagne et une bouteille de Blanton’s original dont je raffole.
— Je vous déclare dignes du nouveau monde, dis-je en plaisantant, voilà une boisson ...
... de vrai américain, ceci dit, je considère le champagne comme un pur breuvage, mais je reste décidément trop traditionnel.
Franck et moi prenons du Bourbon, quant aux femmes, elles restent au champagne, qui semble leur aller parfaitement. Elles sont très joyeuses nos deux femmes qui se marrent bien en parlant à voix basse et en regardant vers nous... c’est l’heure où les yeux brillent quand la vie sourit aux chanceux que nous sommes.
Au troisième verre, Franck nous annonce brusquement qu’il va se coucher vu qu’il a une rude journée demain et qu’il est tard pour lui...
— Je dors dans l’annexe, annonce-t-il, et s’éclipse illico.
Devant mon regard interrogatif ?
— Le coup de blues, nous dit Annie, mais surtout, ne partez pas s’il vous plaît, je me sens trop seule sinon...
— Pourquoi partirions-nous, la soirée ne fait que commencer, lui répond Emilie en la prenant par le cou et l’embrassant brusquement à pleine bouche pour lui faire comprendre qu’elle reste.
Je regarde avec plaisir ces deux créatures si différentes de physique et pourtant si complémentaires et magnifiques. Une génération presque les sépare, et pourtant, elles sont parties pour se donner mutuellement du plaisir sous mes yeux. Je suis assis sur un énorme fauteuil de cuir face au canapé où mes deux femelles en chaleur se caressent et s’embrassent. Ma queue est déjà dure et commence à me gêner dans mon pantalon.
Annie prend l’initiative de déshabiller Emilie dont la robe tombe au sol. Elle est ...