Mon cadeau d'anniv' (2) - Histoires de Sexe

Mon cadeau d'anniv' (2)

... queue mon frère. Et toi tu as envie de me respirer aussi ?

— J’adorerais

— Allez viens un peu plus bas. Je vais te faire sentir ma mouille.

Je me mis presque allongé, elle écarta ses cuisses me laissant l’accès à son intimité.

— Tiens c’est que pour toi, sent moi bien la chatte.

Elle écarta les pans de sa culotte me laissant admirer son magnifique sexe tout trempé. J’approche mon visage et commence à respirer en direct son entrejambe, j’étais de plus en plus excité, le nez collé à son sexe.

— Nina, tu m’excites tellement, je ne vais pas tenir longtemps. Tu sens trop bon.

— Ah ouais, tu sais ce que tu vas faire qui va m’exciter terriblement ?

— Non quoi ?

Elle me releva la tête et se mit à genoux comme moi et me susurra à l’oreille

— Tu vas jouir encore dans ma culotte si tu veux

— Grave que je veux.

— Mais cette fois-ci, je vais la garder sur moi.

— Comment ça ?

— Tu vas viser ma petite chatte et je vais garder tout ton jus dans ma culotte. Je vais le garder toute la journée. Ca te plait ?

Je ne pouvais dire non, et l’entendre dire ça m’a mis la tête à l’envers. Elle m’encouragea alors pour que je puisse me ...

... finir sur elle.

— Allez frérot, je sens que ça vient.

Elle s’approcha de moi, baissa légèrement sa culotte en écartant l’élastique supérieur. Avec sa main droite, elle continuait à se toucher, je voyais qu’elle aussi était au bord de l’explosion. J’en pouvais plus, elle accéléra ses mouvements en gémissant.

— Han, vas-y Luc, éjacule-moi dessus. Jouis bien dans ma culotte. Mets-en partout sur la chatte de ta petite sœur... Hann, mmmmm, je viens aussi.

— Rhhhhaaaaaa, oui Ninnaaaa, c’est trop bon

J’ai tout lâché en plusieurs jets qui ont atterri sur son minou, ma sœur a joui quasiment en même temps. Il y en avait partout sur son pubis et ses lèvres étaient maculées de mon sperme.

— Mais t’avais encore tout ça ? Me fit-elle en rigolant à moitié.

— Tu m’as trop excité sœurette. Je te savais pas aussi délurée

— Je ne te croyais pas aussi pervers mon frère, mais j’aime bien ça.

— Et tu vas rester comme ça toute la journée ?

— Oui, comme j’ai dit. Et puis si j’ai envie, peut-être que je me caresserais encore un peu dans la journée. Rien de penser que j’ai tout ton jus dans ma culotte, collé à mon minou, ça me donne des envies. On verra...