1. Quelle soirée. (5)


    Datte: 26/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: YoLC, Source: Xstory

    ... popcorns et on est là, posés au calme. Le film démarre. Bien que le film nous semble intéressant, l’éclairage tamisé éveille déjà mes sens. Assis l’un à côté de l’autre, elle me regarde avec un air que je connais, qui de toute manière, l’a déjà trahie depuis la file d’attente. Je vais avoir du mal à me concentrer sur le film, j’ai déjà très envie d’elle, envie de la remercier pour cette soirée et cette nuit lors de mon conseil parents-profs. Mais non, il n’en sera rien, je me retourne, je croise les jambes, car je commence à bander, c’est horrible. Et là je me dis dans mon for intérieur : Allez Hugo putain ressaisis-toi ! Niet niet niet ! Je me demande même si je ne devrais pas aller aux toilettes me soulager, question d’avoir les idées claires. Self-control.
    
    Je la sens câline et attendrissante ce soir, avec son bras, elle me ramène vers elle. Nous sommes l’un contre l’autre. Je respire correctement, mais discrètement pour pas qu’elle sente quoi que se soit. Elle m’excite déjà, c’est atroce et je commence à me demander s’il n’y a que moi à avoir ce genre de pensées.
    
    D’un geste délicat et lent, elle prend mon bras puis elle guide ma main vers son bas pour finir entre ses jambes.
    
    — Laisse-toi faire Hugo, j’ai envie de toi, ne dis rien. Regarde mets ta main...
    
    — Non maman pas ce soir, qu’est-ce qu’on s’est dit ? Ça me gêne.
    
    Ma main descend et s’arrête là où elle veut que ma main soit.
    
    — Je ne te demande rien, tu te laisses faire, tu joues le jeu et on se ...
    ... quitte après le ciné. Allez mon petit chat, fais-moi plaisir. Tu sais à quel point je peux être une vraie petite coquine. Et là je veux l’être avec toi... Tu es sûr de ne pas vouloir continuer ? C’est pas ce que tu disais à notre dernière soirée.
    
    Un silence prit place quelques instants. Je m’aperçois qu’elle est nue, pas de petite culotte. Aucun tissu n’entrave cette entrée. Sa peau lisse, douce, est terriblement brûlante. Le bout de mes doigts la touche délicatement, l’électrise de part en part, et récolte quelques gouttes d’excitation, de ce nectar dont je rêve tant. Comme à son habitude elle est épilée. Je remonte ma main et elle lèche mes doigts, elle les suce discrètement, ma queue ne tient plus dans mon caleçon, mais je ne bouge pas. Des milliers d’images passent dans ma tête et entre autres la dernière position où ma mère en levrette se donnait à moi avec force. Sur les genoux derrière elle, ma queue raide et elle venait s’empaler entièrement sur ma queue comme une furie encore et encore. Ma vue était extraordinaire avec cette petite chatte que je limais et qui était trempée ainsi que son petit anus déjà bien ouvert de par la soirée que nous avions passée. Il était dilaté et accueillant.
    
    Bref, là nous étions au cinéma. Mes doigts sont tout mouillés, et elle les lèche un à un, mon regard plongé dans le sien. Mon cœur bat la chamade et je n’ai qu’une envie c’est de rentrer à la maison et lui donner ce qu’elle souhaite.
    
    — Tu viens, on rentre ? On va chez moi ?
    
    — ...