1. De sous-vêtements coquins en coquineries


    Datte: 03/02/2018, Catégories: 2couples, inconnu, essayage, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme entrecoup, Auteur: Humoureux, Source: Revebebe

    Nous nous promenions bras dessus bras dessous dans une des galeries marchandes des Champs-Élysées, lorsque le regard d’Élise se porta sur une boutique de dessous féminins coquins.
    
    — Ça te plaît, n’est ce pas, me dit-elle en souriant.
    — Autant qu’à toi, ma chérie. Reconnais qu’il y a de jolis ensembles en vitrine, et cela pimenterait encore plus notre relation
    — Petit coquin, je te reconnais bien là.
    — Nous sommes deux, me semble-t-il, même si tu n’as pas encore voulu sauter le pas. Si nous entrions dans cette boutique ?
    — Et si quelqu’un nous reconnaissait ?
    — Tu sais, plus anonyme qu’à Paris, c’est difficile. Et puis, si nous rencontrions une connaissance, nous pourrions toujours argumenter que nous venons chercher un cadeau surprise pour un anniversaire.
    — Décidément, tu as réponse à tout. Soit, tu entres le premier et je te suis.
    — Tu ne vas pas te dégonfler, une fois que je serai dans la boutique ?
    — Non, non, promis, juré.
    
    Prudent quand même, j’entrai dans la boutique, tirant Élise par la main. À l’intérieur, outre la vendeuse d’un certain âge, un homme, la cinquantaine, élégamment vêtu, attendait patiemment devant une cabine d’essayage.
    
    — Bonjour. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? nous interrogea la vendeuse.
    — Nous avons repéré en vitrine un ensemble noir sur un de vos mannequins dans le coin droit.
    — Ah oui, c’est un nouvel ensemble qui a beaucoup de succès. Quelles sont les mensurations de madame ?
    — 90C et 40, répondis-je, sans avoir laissé le ...
    ... temps de répondre à Élise, qui partit d’un petit fou rire.
    
    La vendeuse sortit l’ensemble : un soutien-gorge redresse seins (j’ai horreur de cette expression, car les seins de ma compagne tiennent toujours bien et n’ont donc pas besoin de cet artifice. Mais il est vrai qu’il devrait les mettre encore plus en valeur), un porte-jarretelles mini et un string, le tout en soie noire bordée de dentelle, du plus bel effet.
    
    — Madame voudra certainement essayer. Installez-vous donc dans la deuxième cabine.
    
    Élise, un peu rouge de confusion, y entra et ferma hermétiquement le rideau, de peur d’être vue par l’homme qui patientait.
    
    C’est alors que le rideau de la première cabine s’ouvrit tout grand, laissant apparaître une créature de rêve, une grande blonde, les cheveux en queue de cheval, assez bien en chair, élancée, vêtue d’une guêpière rouge en satin, lacée sur les côtés, avec le porte-jarretelles intégré et d’un string mini mini qui ne cachait quasiment rien de son intimité. Du haut de la guêpière émergeait une paire de seins volumineux, rebondis, à faire bander un régiment de séminaristes !
    
    — Comment me trouves-tu, mon loulou ? déclara cette blonde, la quarantaine certainement, mais bien conservée, pas du tout gênée par ma présence, avec un accent qui sentait les pays de l’Est.
    — Ma-gni-fi-que, n’est-ce pas, monsieur ? répondit le quidam en me prenant à témoin.
    — Pas mal, en effet, balbutiai-je, encore sous le choc de la vision qui s’offrait à moi.
    — Dis donc, si ...
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