1. Une mère pas comme les autres... (7)


    Datte: 25/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... envie de toi, je te l’ai dit. Tu es mon fantasme absolu pour l’instant. J’ai envie de ta jouissance, j’ai envie de ta queue, j’ai envie de t’exciter et de t’apprendre à te maîtriser pour rentre une femme folle de toi. J’ai envie de connaître le goût de ton sperme et de te permettre toutes les folies.
    
    Elle ne put s’empêcher de rougir en évoquant ses envies. Je ne l’ai jamais trouvé plus belle que durant cet instant. Elle me semblait si fragile, si frêle, si timide en avouant ses désirs enfouis. J’avais l’impression de me retrouver face à une jeune pucelle avouant son attirance à son petit copain alors que j’avais en face de moi ma mère, en lingerie torride.
    
    Je me suis levé et je l’ai prise dans mes bras en lui murmurant à l’oreille
    
    — Je t’aime, Maman ! Je serai ce que tu attends de moi. Je te le promets. Je l’ai dit dans ma chambre tout à l’heure et je te le répète à l’instant. Je serai ton Maître et tu deviendras ma soumise. Je prendrai le rôle de ton époux dans les ordres et les demandes sexuelles alors que tu prendras celui de professeur. J’appliquerai tes consignes et tu obéiras à mes ordres. Nous sommes gagnants l’un et l’autre. Tu auras ce que tu souhaites et j’aurai mon apprentissage particulier pour conserver celle que j’aime.
    
    Je reculais alors mon visage pour me retrouver face au sien.
    
    Nous pouvions lire dans nos yeux tout l’amour, le respect et le désir que nous avions l’un pour l’autre.
    
    Je pris alors l’initiative et posait mes lèvres sur les ...
    ... siennes, dans un baiser chaste. Nous scellions notre nouvelle vie, par un baiser d’une tendresse infinie au milieu du salon. Elle en lingerie et moi avec le sexe débordant de mon boxer.
    
    — Merci, mon chéri ! Rien ne pourra se faire sans ton consentement. Alors le recevoir lorsque je te dis que je vais y aller plus lentement, c’est le plus beau des cadeaux. Je t’aime, Philippe !
    
    — Je t’aime, Sylvie !
    
    Nous nous reculâmes lentement puis Maman reprit la parole.
    
    — Et si nous reprenions là où nous en étions ?
    
    — De quoi parles-tu ?
    
    — Dans ta chambre, tu m’as laissée avec un vide immense. J’avais besoin de me caresser la chatte mais, non seulement, j’ai analysé Anaïs et, en plus, tu m’as laissée seule alors que je voulais le faire devant toi.
    
    — Mais nous pouvons y remédier, Maman ! Dis-je en me rapprochant et en lui posant une main sur les fesses.
    
    — Mmmhh...tu prends des initiatives ! J’’aime beaucoup.
    
    — Alors je tenterai de m’en souvenir !
    
    — Je t’autorise à me toucher ou et quand tu le voudras. Mon corps est à toi ! Je te suis soumise.
    
    — Alors le mien aussi ! Du moins, si celui-ci te plaît ? Dis-je instinctivement.
    
    — Mmmmhh...je m’en souviendrai aussi.
    
    — Dans ces moments, comment dois-je t’appeler ? Maman ou Sylvie ?
    
    — Les deux appellations me conviennent ! Mais, « Maman », c’est plus excitant, non ?
    
    — C’est vrai ! Ce côté « interdit » est excitant.
    
    — Alors, mon chéri ? Montre-moi de quoi tu es capable, je n’y tiens plus ! J’ai la chatte en ...
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