L'éducation d'Elodie (1)
Datte: 25/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Fanny63, Source: Xstory
Bonjour, cette histoire est largement inspirée par certaines de mes « aventures », j’espère qu’elle vous plaira, n’hésitez pas à « liker » ça fait très plaisir.
Je remercie une personne qui se reconnaitra pour l’aide apportée sur la correction de mon texte.
Je m’appelle Elodie et suis issue d’une famille bourgeoise assez connue dans ma petite ville de province.
Sans vouloir me vanter, je suis assez mignonne, une chevelure ondulée châtain clair avec quelques mèches blondes qui me tombent un peu plus bas que les épaules.
La nature m’a gâtée, car je suis fière d’avoir une jolie poitrine en poire. Je fais un gros 85C ou un petit 85D selon les soutiens-gorge, bref ce que les hommes appellent "des beaux nichons". Ma poitrine saillante est accentuée encore plus par ma taille fine, et des jambes minces (je mesure 1m65).
Malheureusement, je trouve que mes fesses sont un peu trop plates à mon goût.
Je suis par nature quelqu’un qui aime assez le sexe, je me suis rendu compte assez tardivement que j’étais vaginale, donc pour moi, la taille compte, surtout la largeur.
Par nature, je n’aime pas du tout diriger, mais plutôt suivre les autres, je suis soumise, il faut l’avouer. Mais au moment du début du récit, je ne m’en rendais pas encore compte !
A cette époque, j’étais célibataire par choix, enfin c’est ce que je disais à tout le monde, et les week-ends, je faisais souvent des soirées avec deux couples d’amis.
Je me remettais d’une rupture difficile avec un ...
... garçon avec qui je m’entendais parfaitement jusqu’au jour où il m’annonça qu’il n’était pas fait pour moi, que si on continuait, ses désirs profonds allaient me changer et qu’il ne voulait pas ça. Je ne comprenais rien et il ne voulut pas en dire plus. Il me laissa ainsi. Le pire c’est qu’il est aussi parti de la ville, plaquant aussi sa famille (amie de la mienne) et du coup tout le monde me regardait bizarrement, m’accusant sans me le dire de l’avoir fait fuir.
Ma mère m’avait même dit un "quand on aime un homme, on fait ce qu’il faut pour le garder !". Mais j’avais tout donné à Romain, je ne lui refusais rien sexuellement alors pourquoi devais-je me reprocher son départ ?
Il avait été le premier à me prendre par-derrière et me faire découvrir les plaisirs de la sodomie, mais surtout le seul à me procurer des orgasmes extrêmement intenses.
Ça faisait presque deux ans qu’il m’avait quittée maintenant. Pour que mes ami (e)s ne s’inquiètent pas, je m’inventais des aventures, des coups d’un soir en disant que j’aimais cette vie-là. En réalité, j’avais dû faire ça deux fois en deux ans, sans y trouver aucun plaisir. Et j’espérais toujours le retour de Romain, perdant peu à peu espoir, mais ne trouvant pas l’homme qui pouvait me charmer.
Dans ces soirées, que je partageais avec mes deux amies d’enfance (depuis la maternelle) et leurs conjoints, nous faisions souvent des jeux. Et ces jeux étaient de plus en plus un peu coquins. Je pense que tout le monde se demandait si ...