1. Mon plan cul régulier (2)


    Datte: 23/01/2023, Catégories: Gay Auteur: solenc, Source: Xstory

    ... :
    
    — Quel accueil !
    
    A ce moment-là, je me rends compte que je suis nu. Une fois la porte fermée, je me retourne et écarte mes fesses en disant :
    
    — Désolé, mais j’ai commencé sans toi !
    
    — T’es une sacrée cochonne...
    
    Il se met à faire bouger le plug en moi et commence à le faire sortir. Je l’arrête aussitôt. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j’ai envie de le garder encore un peu en moi.
    
    Je lui propose de boire une bière avant de commencer. En allant chercher des bières dans le frigo, la sensation du sex-toy en moi m’excite énormément. On s’installe dans le canapé. Je sens dans les yeux de Stéphane une certaine excitation. Ça me plaît de savoir qu’il a envie de moi.
    
    Rapidement, je sors sa queue déjà bien dure pour la branler. Il baisse son pantalon pour être plus à l’aise, mais j’ai envie de le voir à poil. Je lui retire ses vêtements un à un. Une fois tous les deux nus, je m’agenouille devant lui pour le sucer comme j’aime le faire, c’est-à-dire en lui léchant le frein et en jouant avec ma langue sur son gland. Je sens que ça lui procure beaucoup de plaisirs. Sa bite est tellement belle que je pourrais la sucer pendant des heures.
    
    Je suis à genoux, les fesses sur les talons. Quand je bouge, je sens le plug en moi. Je n’en peux plus, j’ai envie de me faire prendre, de sentir sa queue tout au fond de moi. Je demande à mon amant de mettre une capote, ce qu’il fait aussitôt. Je me lève et enlève le sex-toy. Je me sens bien ouvert, prêt à recevoir la ...
    ... grosse queue de Stéphane. Je lui dis :
    
    — Allonge-toi.
    
    Je viens alors sur lui pour faire entrer son sexe d’un seul coup. Je laisse échapper :
    
    — Putain, c’est bon !
    
    Moi qui ressentais comme un vide après avoir enlevé mon plug, là je me sens bien rempli. Je fais de lents va-et-vient, mais en faisant presque ressortir sa bite avant de la remettre entièrement. Je gémis de plus en plus tellement je prends du plaisir. En regardant dans les yeux l’homme qui m’encule, je me sens comme possédé par lui. J’adore cette sensation, ça ne fait que renforcer encore mon excitation.
    
    Mes mouvements sont maintenant plus rapides et toujours aussi profonds. Stéphane me tient par les hanches et accompagne mes mouvements. Je ne bande pas et pourtant je me sens à deux doigts de jouir. D’ailleurs, mon gland est bien humide.
    
    Après quelques minutes, Stéphane me tient plus fermement et se vide en moi (enfin dans la capote...). Je suis un peu frustré, j’étais au bord de l’orgasme.
    
    Je m’assieds sur le canapé. Mon amant, lui, reste un allongé. Je lui demande :
    
    — C’était bien ?
    
    — Oui ! Et toi, ça t’a plu ?
    
    — Oui, j’étais à deux doigts de jouir...
    
    — C’est vrai ?
    
    Je lui raconte que, parfois, quand je me gode assez intensément, il m’arrive de jouir assez fortement. Je vois que ça l’intrigue. Il finit par me dire :
    
    — J’aimerais bien voir ça ?
    
    Nous allons d’abord dans la salle de bain, puis nous allons dans la chambre pour prendre mon gode favori. Il me dit :
    
    — Tu me ...