1. Le bocal de cornichons


    Datte: 22/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Cassandro, Source: Xstory

    ... conseils.
    
    — J’ai mal entre les cuisses. Vous devriez me masser à cet endroit, monsieur.
    
    Ma timidité me barrait le chemin. Je m’assis à genoux sous elle et portais mes mains vers son entrejambe mais n’osais l’atteindre. Elle me prit la tête et l’enfourna sous sa jupe. Toutes mes inhibitions m’apparaissaient s’exterminant les unes les autres. Sont-ils des pages de chair d’une littérature nourrissante ! Le carré de poils pubiens de la demoiselle venait d’acheter ma paix à jamais.
    
    — Menez-moi de l’autre main, celle qui sortait quand vous êtes arrivé, monsieur ?
    
    Dominant fermement ma main, son papier se développait très régulièrement en communauté et elle n’était que désordre et ivresse. État de la jeune fille hors de ma pensée ? Gare à celui qui en fait une pure représentation. Quantité de légendes ne s’expliquent pas autrement... Signalons en attendant ce grand travail de l’ouvrière, à travers tous les océans, et en remontant par la falaise pour se sauver, d’autres fois c’est bien étonnant, étant donné son nom ? Absurdité.
    
    — C’est ça, utilise ta langue...
    
    Apprenez-leur à lire, épeler chaque mot avec peine. Suivant les informations recueillies, ces terribles félins paraissent être les facteurs décisifs du choix d’un lit de camp garni de peaux de boeuf, la face marbrée par la bile. Qu’ils arrivent ! ...
    ... Levons nos regards des misérables travaux effectués en vue d’un fantôme.
    
    — Persistez-vous à nier les faits dont vous êtes porteur ? Allez, bon sang, léchez moi la chatte et qu’on en parle plus.
    
    Commençant à craindre que ces quelques paroles rendent singulièrement éloquents les quelques mouvements spasmodiques de son bassin, je m’interrompais et me levais. Je fus cependant si brusque que mon pantalon m’en tomba, dévoilant ma trique.
    
    — Oh oui, quelle bonne idée. Mangez à votre faim, je vous tend ma croupe.
    
    Elle se positionnait en levrette et je partais dans la cuisine, heureux.
    
    — Mais que faites-vous ?
    
    — Je me sers des cornichons.
    
    — Revenez tout de suite ! Signalez-vous et ne bougez plus maintenant !
    
    Je revins vers elle à la hâte. Elle était en colère. Elle me signifia le plus pur enthousiasme pour la pénétration par une démonstration physique habile. Je vins la pénétrer et je remarquais que, dans la main gauche, j’avais toujours un pot en verre rempli de cornichons. Je l’assaillais de coups de bite pour la satisfaire et profitais de l’instant de répit que me donnait sa satisfaction pour retirer le couvercle de mon pot. Je prenais un boudin vert aigre-doux avec ma main libre. Des gouttes de saumure coulaient le long du légume. Je pris la chose à pleine dent et croquais.
    
    C’est ça, le bonheur. 
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