Candaulisme au restaurant - Histoires de Sexe

Candaulisme au restaurant

Comme nous avons l’habitude depuis longtemps déjà, nous parvenons à nous rencontrer en « terrain neutre », éloignés de nos familles respectives, pour quelques heures d’évasion et de rêve. Elle, toujours aussi séduisante dans sa soixantaine élégante, sa ligne fine et ses yeux bleus si rieurs, qui ne cachent pas ses penchants libertins à ceux qui savent y lire ses envies. Cette fois-ci, le rendez-vous était fixé pour déjeuner dans un bon restaurant d’une petite ville.

Je l’y accueillais chaleureusement, séduit par son allure toujours BCBG, mais tellement sexy en même temps. Sa robe moulait sa poitrine menue et s’évasait sur ses hanches, jusqu’à ses genoux. On devinait à chacun de ses pas, la souplesse de sa taille et le balancement prometteur de son adorable petit cul. Nous nous installâmes à une table, un peu en retrait dans la salle et nous profitâmes d’un excellent repas, tout en devisant comme de bons amis.

J’étais fasciné par son babillage agréable, ses sourires et son regard qui me disaient déjà tant de choses… Malgré la séduction sous laquelle elle me tenait, je remarquai toutefois que ses yeux se portaient de temps en temps par-dessus mon épaule, vers le fond de la salle derrière moi.Tiens donc, me dis-je,elle doit avoir ferré quelque chose, telle que je la connais.

— Dis-moi, tu sembles intéressée, dirait-on ?
— Humm, non, répondit-elle avec un sourire complice.
— Allez, ma chère complice, dis-moi tout !
— Eh bien, il y a là derrière un type seul à sa ...

... table qui me reluque…
— Ah ah ! Et qu’en penses-tu ?
— Pas mal.. .on dirait que j’ai une touche.
— Si tu as envie de jouer, ne t’en prive pas, ma chérie !
— Attends, on va voir si c’est bien le cas.

Elle remua un peu sur sa chaise en souriant et je devinai qu’elle croisait ses jolies jambes vers le côté de notre table, orientées vers le mec. Quelques mouvements m’indiquèrent qu’elle jouait à montrer ses atouts de séduction préférés, ses chevilles minces, ses mollets et, sans doute au-delà des genoux, des vues vers ses cuisses juste glissées dans d’élégants bas autofixants. En même temps, elle jetait quelques regards amusés vers sa proie pour évaluer l’effet produit et il semblait qu’il était réussi, car elle me glissa :

— Il a vu mon manège et fixe mes jambes ; il doit voir un peu de ma peau en haut de ma cuisse. Humm, ça commence à m’énerver un peu, tu sais !
— Tu veux dire que tu mouilles déjà ?
— Exactement, et ma chatte gonfle au fond de mon string…
— Continue comme tu veux, mon amour, tu sais tellement bien maîtriser ce genre de situation !

Elle m’envoya un léger baiser discret et se leva lentement de manière à bien être remarquée par l’homme qu’elle avait en point de mire. Avec élégance, elle se dirigea vers les toilettes en traversant la salle, passant, comme par hasard, à proximité de lui. Puis elle disparut à ma vue dans le couloir. Quelques instants plus tard, j’entendis bouger la chaise du type et je me tournais pour le voir partir dans la même ...