Mariage raté, la belle-famille s'en mêle (5)
Datte: 21/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Galaxie55, Source: Xstory
... Arrivé devant la porte j’arme mon poing pour toqué, l’envie dépassant presque du pantalon et si je me fourvoie et que j’arrive dans cette convenance devant quelqu’un d’autre. Je rabaisse ma main et tente de contenir l’envie qui pulse et grandis dans mon caleçon. Je regarde l’heure, treize heures cinquante-cinq, je ne suis pas en retard, j’ai le temps. Je déambule dans les couloirs pour calmer la bête qui gronde en moi, marchant sur la moquette rouge. Un bagagiste me voit marcher ainsi dans les couloirs et m’interpelle.
— Bonjour Mr vous avez besoin d’aide ?
— Non, declaré-je, un peu gêné.
— Vous me rappelez quelqu’un, vous êtes ?
— Mr Guerilo.
— Le mec sur la photo qui est en train de serrer la main du grand patron. Veuillez m’excuser pour ma familiarité, mais je suis son neveu en apprentissage.
En voyant ce petit jeune plein d’entrain, j’ai une idée qui réglerait bon nombre de problèmes. Je l’invite donc à me suivre en le poussant par le bras d’où je venais.
— Ha, c’est ça cette assurance que je sens en vous.
— Oui moi je suis bourré d’assurance, un vrai lion qui n’a peur de rien !
— Vous savez je suis embêtée, Madame s’est endormie attaché sur le lit, après que je me sois occupée d’elle et comme un con je suis sortie sans le pass… pouvez- vous m’aider en toute discrétion ?
— Mais bien-sûr, c’est quelle chambre ?
— Chambre 366.
Après avoir ouvert la porte gracieusement ce petit jeune s’en va fière d’avoir pu être utile. Je referme la porte ...
... derrière moi discrètement et avance dans cette belle suite. Je me fige quand j’aperçois dans le salon une chevelure noire ébène dépasser d’un des deux fauteuils coulissant, qui est tourné face la télé. Mon sang ne fait qu’un tour et mon phallus se raidit instantanément. La surprise pour elle sera totale quand elle saura que j’ai réussi à rentrer sans qu’elle ne s’en aperçoive. J’ai bien mérité ça en ayant cavalé pendant deux jours. Discrètement je me déshabille et ricane ce que je peux dans ma barbe de trois jours.
Je laisse juste le caleçon et me rapproche discrètement dans son dos. Ma respiration se fait pressante et les mouvements sont saccadés, je peine à avancer sans bruit. Heureusement les feuilletons d’amour du dimanche après-midi couvrent bien mon souffle court et ma démarche dénuée de classe. Elle m’a encore bien étonné sur ce coup là Brigitte, mais depuis hier c’est moi qui ai la main et je compte bien profiter de toute la fougue qu’elle a à me donner. Je tourne d’un coup sec le fauteuil sur lui même avec détermination, en clamant :
— Je te tiens Brigitte !
Et la stupeur, en retournant le fauteuil je découvre, Mel choquée autant par ma tenue que par ma présence impromptue. Elle me regarde droit dans les yeux pour une fois et ne lâche pas mes pupilles, sûrement par excès de politesse. Au-delà de sa surprise, après quelques secondes qui m’ont parues être des heures, son visage s’attendrit et elle me sourit. Mon cœur qui s’était arrêté repart de plus belle et ...