1. Ce qu'on dit est vrai... (1)


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... de poissons et de crustacés se déroule rapidement (il y a peu de monde dans le restaurant, car la haute saison est terminée), mais les deux verres d’apéritif et la bouteille de bon vin blanc vidés au cours du repas m’ont quelque peu échauffé les sens... D’ailleurs, à voir les yeux brillants de Cheryl, je pense qu’elle est dans la même euphorie que moi...
    
    Nous ne refusons pas la promenade sur la plage que nous proposent nos compagnons... l’air est doux, la lune brille... et sur la côte est, nous sommes à l’abri des alizés. Nous marchons sur la plage et le ressac modéré nous berce...
    
    Amadon a passé son bras sous le mien et nos hanches sont collées l’une à l’autre... Avec un accent inénarrable teinté d’expressions typiquement créoles, il me fait une cour pressante à laquelle j’ai soudainement envie de céder... Est-ce les effets du « bois bandé », mais je sens comme une boule de feu dans mes entrailles... le désir de faire l’amour m’embrase... quand je nous arrête et que je fais face à Amadom en lui tendant mes lèvres, il m’élève jusqu’à lui avec une facilité certaine...
    
    Mes 50 kilos ne pèsent pas lourd entre ses bras puissants... Je noue mes bras derrière sa nuque et je me presse contre son corps... Je sens ses mains s’emparer de mes fesses au travers de ma robe légère et quand il me presse contre lui, je sens son sexe... Je m’enflamme aussitôt...
    
    — Viens... trouvons un endroit discret et baise-moi !
    
    — Pas besoin... le sable de la plage est doux !
    
    — Si tu ...
    ... veux...
    
    Amadom me pose à terre et je me laisse glisser pour avoir son sexe à la hauteur de ma bouche... Je dénoue les cordons de son pantalon de toile qui s’accroche à son sexe à moitié bandé... Ce coquin ne porte rien en dessous... aussi est-ce facile pour aller cueillir ce beau bâton noir que je distingue aisément malgré l’obscurité de la nuit...
    
    Avant de l’emboucher, je joue un peu avec lui, je le masturbe entre mes mains comme pour en prendre la mesure puis je pars chatouiller les bourses imberbes... et je fais rouler les testicules l’un contre l’autre...
    
    Le mandrin que j’ai entre les mains me sidère... Je n’en ai jamais vu d’aussi volumineux... je peine à en faire le tour avec mes doigts et lorsque j’introduis le gland entre mes lèvres, j’ai des difficultés à le faire entrer... mais, une fois la hampe bien humectée de ma salive, elle coulisse entre mes lèvres... Quand Amadom est au fond de ma gorge, il reste au moins une largeur de main à l’extérieur...
    
    Humm... je sens que je vais me régaler... J’ai complètement oublié Cheryl et son compagnon... et mon compère de baise resté en Métropole !
    
    Je suce ce beau sucre d’orge pendant quelque temps, mais c’est dans ma chatte que je veux le sentir !
    
    Je m’allonge sur le sol et j’ouvre mes bras à mon futur amant !
    
    — Viens... Baise-moi... J’ai le feu dans mon ventre !
    
    Amadom me domine de sa haute stature (il mesure au moins 30 centimètres de plus que moi) et l’œil coquin, il couvre son sexe en disant :
    
    — Toi... ...
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