1. L'Histoire est un long cheminement ! (17)


    Datte: 19/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... journée ! Je me réjouis de te retrouver ce soir. Je m’occuperai du dîner. Je rentrerai un peu plus tôt du boulot. Tu pourras flâner à ta guise.
    
    — Tu es un amour ! Je vais t’éblouir pour te remercier de ta gentillesse.
    
    — Je n’en attendais pas moins, mon coeur ! Dis-je en l’embrassant et en me levant pour aller bosser.
    
    Ma mère, patron du service qui m’emploie à présent, m’accueillit avec un sourire entendu.
    
    — Bonjour mon grand ! J’espère que cette journée va passer rapidement. Je n’en peux plus. Je suis excitée comme une puce. Et ton père est dans le même état. Nous avons tous hâte de rencontrer vos amis. Caroline à même pris un jour de congé pour se préparer.
    
    En entendant cette révélation, je compris que mon épouse ne m’avait pas tout dit. Je suis, à cet instant, certain qu’elles sont de mèches et passent la journée toutes les trois.
    
    — Qu’est-ce qui te fait sourire ? Demanda ma mère.
    
    — Simplement que mon épouse a eu la même idée. Ainsi que Gloria.
    
    — Pardon ? Demanda ma mère. Elles sont toutes en congé pour se préparer à la soirée ?
    
    — Eh oui, maman !
    
    — Si c’est ainsi, je prends congé cet après-midi. Pas question de ne pas être parfaite ce soir.
    
    J’éclatais de rire dans le bureau de ma patronne adorée. J’aime tant ces femmes.
    
    Ma mère dégaina son téléphone et appela son coiffeur et son esthéticienne pour exiger un rendez-vous dans l’après-midi. En assistant à ces échanges durant lesquelles ma mère passa des plaintes aux menaces de changer de ...
    ... fournisseur de service, je me tordais de rire sur le grand divan ornant son bureau patronal.
    
    — Tu peux rire, vilain garnement. Tu ne sais pas ce que c’est de vieillir et d’être en compétition avec de si belles jeunes femmes ! Me dit-elle grave.
    
    Je m’arrêtais de rire, mais pas de sourire, en m’approchant d’elle et, la prenant dans mes bras, je lui dis
    
    — Maman ! Tu es la plus belle femme du monde. Je connais beaucoup de "jeunes femmes", comme tu le dis, qui voudrait avoir ton corps actuel.
    
    Et je ne mentais pas. Parce que si ma mère et moi baisions souvent au bureau, exigence pour me faire engager, je la trouvais toujours aussi attirante.
    
    Elle était grande, des cheveux devenus plus foncés par la coloration depuis quelques mois, mais une paire de fesses et de jambes entretenues par le sport qu’elle pratique régulièrement sur les appareils mis à la disposition des employés par le patronat. Son ventre reste plat et ferme, malgré sa double grossesse, et ses seins (un bon 95C) se tiennent encore parfaitement. Elle est tout simplement merveilleuse.
    
    Et je suis souvent le seul à savoir que ses jambes sont invariablement recouvertes de soie et de petites attaches coquines. Autre exigence de ma part.
    
    Pour résumer, ma mère est une femme sublime. J’ai beaucoup de chance.
    
    — Tu es un vil flatteur ! Mais j’aime t’entendre me parler ainsi. J’ai encore plus envie que tu me baises maintenant. Mais si je dois m’éclipser, il faut que le travail soit fait.
    
    — Exactement ! Mais ...
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