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L'amour d'un fils (4)
Datte: 19/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matthew$12, Source: Xstory
... lorsque j’émis un cri de pur bonheur, papa se consacra sur cette zone afin de faciliter l’accès de ses doigts. Cela me détourna de ma douleur jusqu’à ce que je sente cogner à ma porte son épais gland. Je me raidis. Mon papa n’était pas d’un petit calibre. La douleur ressurgit lorsqu’il força mon anneau à s’ouvrir pour le laisser passer. Il était immense. J’eus peur de me faire déchirer par ce monstre tellement je me sentais forcé et écartelé. Lorsque le gland de papa passa ma première barrière de résistance, je criais de douleur et mon corps se couvrit de sueur. Je n’avais encore jamais eu aussi mal de ma vie, mais je refusais de lui demander d’arrêter. Je le voulais tout entier au fond de moi. Il s’immobilisa et prit ma bouche voracement afin de pouvoir sucer ma langue et m’embrasser de tout son soûl. Sa langue visita tous les recoins de ma bouche et par la suite, il se mit à me caresser sur tout le corps en me mordillant le cou. Il alternait morsures et suçons. C’était si délicieux que la douleur reflua au second plan. Au bout de plusieurs avancées lentes et de douleur de ma part, les couilles de papa cognèrent finalement contre mes fesses. Il s’arrêta afin de me permettre de m’habituer à sa grosseur et sa présence dans mon corps. Je n’y croyais pas encore. Mon papa d’amour était enfin en moi. Tout au fond de moi. Bien au chaud et en sécurité au fond de ma grotte. Malgré la douleur, j’étais en extase. Papa se remit à me caresser le sexe, car avec la douleur qui avait ...
... suivi sa pénétration, j’avais perdu de ma rigidité. Lorsque je fus à nouveau bien dur, il se mit à faire de lents va-et-vient, m’habituant à sa présence et me permettant de prendre mon rythme. Lorsque son gland cogna pour la première fois sur ma prostate, mes orteils se crispèrent et je criai de bonheur. Papa changea donc d’angle afin de pouvoir faire vibrer mon corps à coups de bite. Cela fut par la suite, merveilleux, extatique et jusque magnifique. Le rythme accéléra et papa me pénétra de plus en plus vite. Ses coups devinrent frénétiques pendant qu’il me mordillait l’oreille et me disait des je t’aime sans arrêt. Je m’accrochais à lui comme si ma vie en dépendait et lui soufflait d’aller plus fort, car je voulais pouvoir le sentir pendant plusieurs jours lorsque je marcherais. — Tu es si fin que j’ai peur de te faire mal. Je refuse de te faire mal. — Tu ne me feras aucun mal papa. Au contraire. S’il te plaît, fais-moi l’amour plus fort. Baise-moi vite et fort. Que je sache à quel point tu tiens réellement à moi. Je veux que tu me prouves à quel point tu m’aimes. À mes mots, la bête fut lâchée. Papa me souleva du lit et me plaqua contre le premier mur à sa portée. Là, il me pilonna comme un fou. On n’entendait plus que des bruits de corps qui s’entrechoquent, des bruits de respirations et mes cris qui sortaient sans aucun contrôle. Papa me baisa vite et fort. Lorsque je sentis ma sève monter le long de mon membre et mes bourses remonter, je m’accrochais plus ...