1. Veillée funèbre (2)


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... retire pour que la peau si douce de ma cramouille profite de la rugosité de ce doigt qui enflamme mes entrailles.
    
    Je rajeunis de quelques années, je vais jouir ! Le doigt d’Anselme se plie et excite une zone hyper-sensible de mon vagin que mon défunt mari n’a jamais recherché, ne s’intéressant qu’à son propre plaisir. Ma mouille devient de plus en plus abondante. Je ne savais pas qu’une femme pouvait autant mouiller. Mais quand deux autres doigts viennent prêter « main forte » au premier, j’apprécie d’être si bien « huilée ». De temps en temps, sa main frotte sur mon clitoris qui est sorti de son capuchon, tout raidi.
    
    Je sens monter un orgasme puissant et dévastateur, je vais jouir debout…. le corps raidi par le plaisir qui m’inonde d’un coup pendant que j’inonde la main d’Anselme. J’hurle quand la vague déferle.
    
    - Ouiiiiiiiii ! Ahhhhhh……oui…Anselme, je jouis….oui…ouiiii…ouiiiii…ouiiii….oui…ouiiiiii….oui !!!! Continuez !!!
    
    Je jouis comme je ne pouvais l’imaginer il y a encore quelques jours. Son pouce cherche mon petit bouton, le trouve et vibre sur lui en le pressant tandis que son petit doigt, s’insère entre mes fesses et trouve mon anus, en fait le tour avant de le presser. Ah les grosses mains d’Anselme !
    
    Comment est-il possible de faire une telle caresse qui va de mon clito à mon cul ?
    
    Son majeur est maintenant seul et continue son œuvre dans mon vagin. Je n’ai jamais ressenti dans ma vie de femme une telle chose, je halète, je marmonne entre mes ...
    ... lèvres en bavant de plaisir, mes jambes ne me portent plus, heureusement que les jambes d’Anselme me soutiennent.
    
    Jamais je n’aurais cru que cet homme si effacé me ferait jouir à ce point avec sa seule grosse paluche.
    
    Mes yeux presque révulsés se fixent un instant sur le cercueil, le fait de voir mon mari allongé entre « quatre planches » décuple mon excitation. J’espère qu’il entend là où il est mes gémissements.
    
    Je me venge du mépris qu’il avait de moi, de ma condition d’épouse qu’il ne contentait jamais, de lui faire regretter les plaisirs que j’aurais pu lui donner s’il avait voulu.
    
    Anselme m’entraîne sur le lit qu’il a libéré du corps de mon mari. Aujourd’hui, c’est lui le Maître et moi sa servante, je le laisse faire. Il me renverse, retrousse ma robe, écarte mes cuisses.
    
    Je suis complètement ouverte, offerte à Anselme qui déchire ma culotte. Il se penche sur moi, met mes cuisses sur ses épaules et son visage entre mes jambes, et il me suce la chatte. Le contraste avec ses doigts est fantastique, sa langue douce s’enlise en moi, déflore ma fente, ce que n’a jamais voulu faire mon mari.
    
    C’est sa langue maintenant qui me fait jouir en baisant ma fente poilue, en me pénétrant, en s’insérant entre mes grandes lèvres, folâtrant dans tous les coins de ma grotte qui n’a jamais connu telle fête. La pointe de cette langue navigue du pli profond et secret de l’aine à celui de mes grandes lèvres en titillant mon clitoris au passage, le lapant pendant que ses doigts ...