1. Des cousins invitent Patrick, l'étalon.


    Datte: 18/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... déjà bien gentil de marcher dans tes combines et tu sais que tu peux me faire confiance !
    
    -Tu parles de confiance mais moi, j’attends que tu manifestes plus d’empressement à mon égard, tu ne m’as même pas embrassée…
    
    Patrick connaissant Martha, savait qu’il allait devoir s’exécuter pour avoir la paix. D’ailleurs, la somptueuse blonde s’interposait déjà entre le lavabo et lui, appuyant ses reins sur l’émail et nouant ses bras autour du coup du musicien. Il n’était pas amoureux d’elle mais éprouvait pour elle une formidable attirance physique. Son parfum capiteux le mettait dans tous ses états. Dès qu’il eut sa bouche contre la sienne, que leurs langues se trouvèrent, que leurs salives s’échangèrent, il redevint le cerf en rut, l’étalon sauvage que recherche chaque femelle. Quand Martha sentit la bite bien connue lui presser le ventre, elle dégagea sa bouche et roucoula :
    
    -Ah ! J’aime mieux ça !
    
    -J’ai envie de baiser ton corps de chienne ! répondit-il durement.
    
    -Oui, saute ta chienne ! Je ne veux être pour toi qu’une femelle qui s’avilit ! Vas-y ! Mets-la moi comme j’aime…
    
    Elle se retourna, se pencha en avant, repliant ses coudes en appui sur le lavabo. Il troussa lentement la longue robe verte jusqu’à dénuder la croupe de sa maîtresse. Elle avait une paire de fesses sublimes, grosses et fermes à la fois et la culotte qui les ceignait paraissait ridicule, incapable de contenir la touffe de poils noir, et la boursouflure charnue du vagin.
    
    -Je vais ...
    ... t’arracher ta culotte, putain !
    
    -Oui, fous-moi à poil et mets-moi ton braquemard dans…dans tout ce que tu voudras.
    
    D’un geste brutal, Patrick arracha la culotte qui se déchira sous la traction. A peine le cul splendide fut-il totalement dénudé qu’elle plia légèrement les genoux pour lui offrir son anus en cible. D’un geste d’une crudité folle, Patrick lui enfonça deux doigts dans le rectum, tandis que le tranchant de sa main épousait la raie et que son pouce s’enfonçait dans le vagin déjà ruisselant.
    
    -Ah, salaud, tu me forces !
    
    -Et ce n’est qu’un début! Ton cul et ta moule vont résonner en cœur, fais-moi confiance !
    
    Il masturba les deux trous avec vigueur puis il s’agenouilla pour planter entre les fesses sa langue dans le con. Il y trouva une ondée généreuse dont il se délecta. Il avait totalement oublié Ida et n’existait plus que par ce muscle labial qui vidangeait maintenant le cul mouvant. Excitée par la caresse, Martha se plia pour passer une main par en-dessous, mais elle prit alors une grande claque sur les fesses tandis que Patrick grognait :
    
    -Je t’interdis de te toucher, morue ! C’est moi et moi seul qui dirige !
    
    -Alors branle-moi ou baise-moi ! Je n’en peux plus ! Deux jours que je n’ai pas baisé, j’ai le con en feu ! Rafraichis-moi de ton foutre…
    
    Tout en lui faisant une « feuille-de-rose », Patrick se déshabilla. Quand il fut la teub à l’air, légèrement cambrée vers le haut, il se redressa. Sa première pénétration fut pour la vulve bombée. Elle en ...