1. Surpris !


    Datte: 01/09/2018, Catégories: fh, couple, dispute, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, hgode, confession, Auteur: Caribonex, Source: Revebebe

    ... dis-je, brûlant.
    
    Gabrielle geint, souffle et son petit postérieur s’orne d’une fine rosée de sueur sous la tension de cet acte, de ce don si intime.
    
    — Tu me remplis, souffle-t-elle.
    
    Je pousse encore un peu et je réponds :
    
    — Ton petit cul m’a pris entièrement, chérie.
    — Tu es sûr ? fait-elle en poussant ses fesses en arrière.
    — Hmmm… là, oui, je suis sûr.
    — J’avais presque oublié comment c’est bon quand… mmmmm… tu me… mmm… prends par derrière…
    — Quand je te sodomise profondément, c’est ça ?
    — Ouiii… quand je suis ta petite enculée !
    
    Je fais des petits mouvements plus forts, et rajoute :
    
    — Quand ma petite salope se fait défoncer le cul ?
    — Oui, oui… ouiiii… j’adoore
    
    J’y vais plus fort, m’agrippe à ses hanches et la pénètre à coups forts, mais de moins en rythme, tant cela chauffe
    
    — J’t’e sens grossir encore mon salaud, tu prends ton pied là, à enculer ta petite femme.
    — Puutain, oui, ton cul est si bandant, je vais plus tarder.
    — À ton tour et elle donne de furieux coups en arrière qui me donnent le tournis. Je craque.
    — Je vais jouir chérie !
    — Vas-y, lâche-toi…
    
    C’est ce que je fais en donnant un dernier coup de reins et en jouissant par à-coups dans son fourreau brûlant…
    
    On se retrouve écroulés, emmêlés sur le canapé à respirer rapidement puis plus lentement, simplement serrés sans prononcer de paroles, juste ce contact entre deux amants qui se prolonge et se savoure.
    
    Enfin, d’un commun accord on se lève doucement et on part vers la ...
    ... douche. Je commençais à regretter tout le boulot fait pour installer une grande douche à l’italienne, mais maintenant qu’on y va enfin ; je ne regrette aucune des gouttes de sueur dépensées pour l’installation !
    
    Les jets sont puissants et nous ragaillardissent rapidement, on se douche, on se lave, on en profite et, comme les jets sont orientables, on commence à nouveau à se taquiner, à jouer avec…
    
    Entre nos baisers, nos caresses, les jets d’eau qu’on peut moduler à loisir, la tension sexuelle remonte et la situation devient de plus en plus chaude. L’eau est réglée sur le mode pluie simple et lui donne un air d’amazone, les cheveux défaits, lissés par la pluie d’une façon un peu sauvage et désordonnée. Ses seins sont tendus, tout comme mon sexe, mais elle m’empoigne et me branle pour me rigidifier encore plus. Me jugeant assez dur, elle se tourne vers le mur de pierre brute, y pose ses mains pour y prendre appui et s’offre à moi dans un baise-moi » rauque.
    
    Je lui écarte un peu les jambes, m’accroupis sous elle et lèche le coquillage rose et nacré si attirant. Son miel a une saveur particulière, si enivrante… Je m’en repais un moment, la pointe de ma langue taquinant son intimité, fouillant, lapant. Je l’aspire, la mordille un peu, son suc coulant sur ma bouche, léchant aussi son index qui est venu m’aider dans mon entreprise d’excitation et avec lequel elle se caresse comme elle aime le faire, appuyant sur son bouton désormais bien rouge puis glissant dans sa grotte ...
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