1. Surpris !


    Datte: 01/09/2018, Catégories: fh, couple, dispute, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, hgode, confession, Auteur: Caribonex, Source: Revebebe

    ... sauvages pendant que nos mains caressent, pelotent, touchent ce qu’elles peuvent du corps si aimé de l’autre. Je caresse ses fesses musclées, ses longues cuisses fuselées, me frotte contre son bas-ventre qui cogne contre ma queue.
    
    Ses seins sont durs contre moi et j’arrive à les lécher entre deux hommages à sa bouche, la faisant gémir sensuellement. C’est comme du miel pour mes oreilles (et mon ego). Je mordille les framboises gonflées que sont ses tétons et pour finir, elle noue ses jambes autour de moi en descendant son ventre.
    
    Ma queue trouve son chemin quasiment toute seule, tant je suis dur et sa petite chatte humide (et pas par l’eau).
    
    Entre deux coups de langue et halètements j’entends des« encore, encore »… « putain, c’est bon » et même un« baise-moi fort » qui m’encouragent à lui donner de bons coups de queue. Je ne me retiens pas, on a envie, besoin de faire l’amour, des retrouvailles sauvages, de la baise urgente, quoi.
    
    Ça ne dure pas des heures évidemment et on a de moins en moins de force pour s’embrasser, ce ne sont plus que des bruits de respirations, des soupirs tendus qui s’achèvent dans un dernier et long feulement pour Gabrielle, pendant que je me mords presque les lèvres pour pas hurler à réveiller le voisinage.
    
    L’orgasme redescend doucement pendant qu’on reste imbriqués l’un dans l’autre, la passion a cédé face à la tendresse et la petite flamme grandit en moi. Surtout quand au bout d’un long moment qu’elle passe toujours accrochée à moi, ...
    ... elle me dit :
    
    — Une douche et on continue à l’intérieur.
    
    **********************
    
    On se laisse encore flotter un petit moment, le ciel est rempli d’étoiles, un peu moins que dans nos têtes néanmoins. On enfile un peignoir et on file se préparer. L’attente n’est pas longue et elle vient rapidement me rejoindre, les cheveux encore mouillés ; tout comme moi, elle n’avait pas de temps à perdre !
    
    Elle s’allonge près de moi et on échange un baiser doux, détendu, avant que je ne me redresse pour la contempler, allongée, nue et offerte.
    
    Mes yeux se remplissent de cette vue, de ses attraits, elle se laisse admirer, sans remonter le drap, sans s’offusquer que je prenne mon temps pour la scruter.
    
    — Je te plais toujours ?
    — De plus en plus.
    
    Je me penche sur elle et trace un chemin avec le bout de mon index sur tout son corps, le sillon entre ses seins, la plaine de son ventre, l’arrondi de ses épaules, la soie de l’intérieur des cuisses. J’effleure à peine sa toison noire, taillée en petit triangle, puis je la fais se retourner sur le ventre et continue mon exploration, la vallée entre ses épaules, le creux de ses reins, la douceur soyeuse de ses fesses, et à nouveau la peau si douce de l’intérieur de ses longues cuisses.
    
    Ma bouche et mes lèvres remplacent mon doigt, couvrant son corps de mes baisers ; pile et face jusqu’à ce qu’elle ronronne de plaisir. Ma langue prend alors le relais et se fait plus indiscrète, je glisse plus bas, hume les effluves de son plaisir ...
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