1. Docteur Jekyll et Mister Love. (2)


    Datte: 17/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... trique. Excitée comme jamais, je sens ma mouille couler le long de mes cuisses. Je voudrais arrêter cette folie, mais je ne sais pas ce qui me retient, peut-être le fait que je connaisse si bien les performances sexuelles de cet homme que je ne connaissais pas il y a encore deux jours ?
    
    Elles changent de position, voulant toutes goûter à la fameuse « bite de poney ! »
    
    Il les repousse et s’assied sur le bord du divan pour s’avachir sur le dossier et donne de nouveau un ordre :
    
    — Je veux une chatte au bout de chacune de mes mains et une autre sur mon visage pour que je lui dévore la foufoune, et les autres, reprenez où vous avez arrêtées !
    
    Je suis bouche bée... Elles lui obéissent sans rechigner et mes huit filles s’acharnent sur ce « Mister Love ». Mais je les encourage :
    
    — Allez les filles ! C’est comme au basket, un travail d’équipe, il faut le faire tenir encore un quart-temps.
    
    — Super, vous avez entendu les filles ! insiste Maelys, il faut le ménager pour qu’il tienne le plus longtemps possible. Resserrer la défense et gérer l’attaque, en évitant qu’il ne jouisse trop vite...
    
    Elles se relaient aux différents postes, comme sur le terrain, réfrénant leurs ardeurs quand elles le sentent prêt à exploser. Il faut qu’il soit sacrément costaud, car les dix minutes sont écoulées.
    
    — Petites putes, vous allez me laisser jouir, oui ou merde !
    
    Virginie repousse ses copines et reprend seule une gorge profonde, ressentant les coups du gland au fond de sa ...
    ... gorge, pendant qu’elle lui malaxe les burnes comme une forcenée.
    
    Il lui bloque la nuque de ses mains, elle ne respire plus. Il lui lâche enfin la tête, Virginie halète et a juste le temps de reprendre son souffle pendant qu’il se branle des deux mains. Une éjaculation interminable et d’une puissance folle, comme sur la vidéo, projette une quantité phénoménale de foutre dans les airs, les filles se battent, telles des groupies voulant attraper le tee-shirt de leur idole, pour profiter de sa manne. Il est si prolixe qu’il arrive presque à toutes les contenter.
    
    Mais avant même qu’elles ne se remettent de son exploit, elles entendent notre hôte s’adressant à Virginie:
    
    — Couche-toi par terre salope ! »
    
    Elle s’exécute et il lui arrache littéralement son minishort et sa culotte de dentelle qui se déchire sous ses doigts.
    
    Il l’empoigne avec force et la plaque au sol. Leurs bouches se collent et leurs langues se mêlent. La folie de l’homme en rut devient plus forte et ses mains commencent à fouiller l’entrejambe de Virginie.
    
    Il glisse deux doigts assez sèchement dans son vagin, mais Virginie se rebiffe :
    
    — Arrêtez, ça me fait mal.
    
    Elle ne doit pas aimer ça ou alors elle a vraiment mal. Dès qu’elle lui a dit d’arrêter, il a retiré sa main qu’il a remplacée par sa teub toujours aussi raide et donne des coups de boutoir entre les cuisses de Virginie. Elle résiste crânement à l’assaut en grimaçant. Un mélange de peur, de peur de lui ou de son formidable organe, ou bien ...