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Inceste..., une affaire de famille (5)
Datte: 17/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Aiguebrun, Source: Xstory
Crépuscule. Le petit domaine viticole est assoupi en cette fin d’après-midi sous le chaud soleil du mois d’août ; l’ombre bienfaisante de ce bon vieux tilleul permet à Jeanne et à moi-même de se rafraichir comme l’on peut avec chacun un verre de rosé maison bien frais. Nous sommes installés côte à côte et main dans la main chacun dans son fauteuil ; ma sœur et moi avons pris notre retraite, nous sommes revenus, Jeanne d’abord, moi ensuite sur les lieux de notre naissance, de notre jeunesse, de nos premières amours ; c’est un moment apaisé, propice à voir défiler le film de nos vies turbulentes mais ô combien excitantes. Jeanne et Thomas se sont mariés, ils formaient un couple heureux, mais les souvenirs de jeunesse nous collaient aux corps à Jeanne et à moi et nous faisions l’amour tous les deux à chaque fois que nous le pouvions. Notre gémellité nous avait depuis longtemps emprisonnés dans un carcan sexuel que nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de quitter. Nos corps ne pouvaient se passer trop longtemps l’un de l’autre ; nous faisions en sorte que cela reste très discret pour ne pas éveiller les soupçons et ne pas traumatiser Thomas qui était un très brave homme, malheureusement disparu il y a quelques années et faisait le bonheur partagé de Jeanne. A cet effet nous avions pour habitude de se voir dans une petite auberge isolée entre Toulon et Aix où nous avons passés des moments très sensuels, la rareté de nos rapports ne faisait qu’augmenter nos envies les plus ...
... folles. Au fil du temps, le couple d’aubergistes était devenu des amis, sans jamais savoir que nous étions jumeaux ; Jeanne et moi avons poussé notre passion du sexe jusqu’à les inviter dans notre chambre. A cette évocation Jeanne rectifie : — Rappelle-toi Benoît, c’est Alice, la patronne qui te faisait du rentre dedans et Maxime qui n’était pas en reste avec moi qui se sont imposés à nous et ont plus ou moins forcé la porte de notre chambre. — Tu as sans doute raison Jeanne, je ne me rappelais plus de ces détails, mais nous avons passés des moments bien chauds avec eux n’est-ce pas ? — Oui sans doute, mais peut-être au détriment de nos propres amours. Au rappel de ces souvenirs, Jeanne ne peut s’empêcher de caresser mon pénis en passant sa main sous mon short et comme je n’ai pas de caleçon elle y accède sans problème. Toujours vaillante, cette bonne vielle canaille se raidit aussitôt reconnaissant entre mille les doigts de ma sœur ; je sens qu’elle ne va pas tarder à venir me faire une fellation dont elle a gardé le secret. Elle se glisse sous la table et voyant ses cheveux grisonnants entre mes jambes, je me rappelle soudainement de Claire Poussin, notre logeuse d’Aix. Je n’ai jamais dit à ma sœur la relation que nous avions eu elle et moi et je décidais de lever le voile. — Jeanne, je voudrais te parler d’évènements que je t’ai cachés jusqu’à maintenant ; il s’agit de Claire Poussin, ta belle-mère. A l’évocation de ce nom Jeanne relève la tête sans lâcher ...