1. Ma Logeuse Ch. 09


    Datte: 01/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... d’Hélène et je sentais encore son humidité sur mes joues. Carole ne pourrai pas ne pas s’en apercevoir. Je la vis se pencher vers moi comme dans un rêve et me faire une bise sur les joues. Elle s’écarta de moi, en me fixant droit dans les yeux, puis quitta la chambre sans rien dire.
    
    Je regardais Hélène consterné. Elle arborait un petit sourire complice, J’esseyais de me rassurer.
    
    « Vous croyez qu’elle s’est rendu compte de quelque chose »
    
    Hélène s’approcha et vint renifler mon visage.
    
    « Ah oui, elle ne peut pas ne pas s’en être aperçue…va te débarbouiller et viens te coucher »
    
    Quand je sortis de la salle de bain, Hélène était assise dans son lit l’air pensive, je me déshabillai et m’allongeai encore tourmenté par ce qui venait de se passer.
    
    « Bonne nuit Pascal »
    
    « Bonne nuit Madame »
    
    Et elle éteint la lumière.
    
    Le lendemain, Carole descendit pendant qu’Hélène était encore en train de se préparer.
    
    J’appréhendais de me retrouver face à elle après ce qui s’était passé la veille mais c’était encore pire de rester seul avec elle. Elle se dirigea vers moi et me fis la bise.
    
    « Bonjour Pascal, bien dormi ? »
    
    Je scrutai son regard pour y discerner la moindre moquerie mais non, c’était simplement le regard chaleureux de quelqu’un qui dit bonjour à un ami.
    
    « Oui, Merci Carole, et vous »
    
    « Oui et non, j’ai eu un sommeil un peu agité…ah, au fait Pascal, merci pour le bain, c’était parfait »
    
    Elle s’assit à table et j’étais en train de lui ...
    ... servir son déjeuner quand Hélène arriva. Elles discutèrent un peu, de choses et d’autres, de problème de boulot, d’une de leur copine qui venait de se faire larguer.
    
    Je les écoutais en silence, tout en sirotant mon café.
    
    Puis, comme la veille, elles se levèrent précipitamment et partirent au travail.
    
    Je restais un moment pensif. Il est vrai que depuis que Carole était avec nous, la vie était plus agitée, et pour moi, les sensations plus fortes. Rompant le train-train quotidien qui s’était établie avec Hélène dans lequel nous n’avions plus grand-chose à cacher l’un à l’autre, elle intervenait comme un trublion qui modifiait nos rapports. Le fait de redécouvrir sa pudeur, sa retenue, son espèce d’innocence ravivaient des sentiments qui s’était un peu assoupis.
    
    Le même rituel du baiser des pieds se reproduit le soir, quand elles rentrèrent. Bien que toujours très humilié par cette nouvelle idée d’Hélène, et surtout quand il s’agissait d’embrasser les chaussures de Carole, je fus moins dévasté que le veille puisque ça s’était déjà produit et que Carole savait maintenant à quoi s’en tenir.
    
    Après le repas, Je débarrassais le table pendant que les deux femmes s’installaient sur la banquette pour regarder la télé. Quand je revins dans le salon j’entendis l’ordre habituel d’Hélène.
    
    « Petit-puceau…viens t’allonger là »
    
    C’était la première qu’elle me demandait cela depuis que Carole était avec nous et j’eus à nouveau un frisson d’humiliation. Je m’allongeai à ses pieds, ...
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