1. Mon premier séminaire d'entreprise (suite et fin)


    Datte: 17/01/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Cliteros, Source: Hds

    ... changer les idées. Torse nu et en short il marcha cinq minutes dans le parc, puis, regardant en direction de l’hôtel où couchait Gabriel, il vit au dernier étage une fenêtre où deux ombres s’embrassaient passionnément et se pelotaient avec ferveur, ce qui le ramena alors soudainement à l’implacable vérité : il n’était qu’un plan cul dans cette histoire. D’ailleurs bien qu’il ait pu goûter à tous les plaisirs du sexe avec moi, jamais je ne l’avais embrassé. C’était peut-être là toute la différence. En allant se coucher pour de bon cette fois, finalement il se dit qu’il était tout de même chanceux de pouvoir partager ce genre d’expériences avec moi et Gabriel.
    
    Dans la chambre de l’hôtel, les deux ombres que Marc avait vues venaient maintenant de se jeter sur le lit. Gabriel, après s’être déshabillé en hâte, m’avait attrapé par la taille et poussé vers le matelas, puis s’était mis à califourchon au-dessus de moi pour me bouffer les lèvres, le cou et les seins, en me bloquant les bras au-dessus de ma tête. Il prit ensuite mon col entre ses mains et arracha au sens propre ma chemisette. Les boutons volèrent un à un et s’éparpillèrent partout sur le sol dans un concert de cliquetis. Il jeta ma chemise en morceaux par terre et s’attaqua férocement à mon mini-short en lin. Les boutons, bien plus solides, lui résistèrent cette fois ci, mais il y mit une telle ardeur qu’ils cédèrent finalement tous, et mon short craqua littéralement sous la fureur des gestes de Gabriel. J’étais ...
    ... donc à présent en sous-vêtement, complétement soumise à la folie de mon copain, et je savais que les pauvres deux bouts de tissus qui m’habillaient encore n’allaient pas faire long feu. Effectivement, à peine mon short rejoignait-il le cadavre de ma chemisette qui gisait sur le sol, Gabriel bondit sur mon soutien-gorge et arracha sa partie centrale avec les dents, libérant mes deux gros seins de leur entrave. Puis il se dirigea vers mon string qui subit à son tour exactement le même sort. Ce n’est qu’une fois qu’il me vit enfin entièrement nue devant lui, mon corps entier dévoilé et à sa merci, que sa respiration saccadée commença à s’apaiser doucement. Etant assis à mes pieds, il me contemplait alors d’un regard passionné et émerveillé. L’intensité des émotions lisibles dans ses yeux me faisait fondre. Puis, comme soulagé, il vint tendrement s’allonger sur moi, posant sa tête entre mes seins, une main contre ma joue et l’autre sur ma hanche. Une dizaine de minutes s’écoulèrent ainsi, nos deux corps nus l’un contre l’autre profitant de ce moment de tendresse et de douceur, de complicité ultime. Puis lentement, je sentis son sexe grossir, jusqu’à devenir une véritable bûche qui pesait sur mon ventre. Gabriel m’embrassa longuement, et tout en faisant rouler sa langue contre la mienne, il dirigeât sans aucune aide son sexe devant le mien. Alors, m’embrassant de plus belle, prenant mon visage entre ses deux mains, il fit pénétrer son membre au fond de moi. Ses vas et viens étaient ...
«12...789...21»