1. Mon premier séminaire d'entreprise (suite et fin)


    Datte: 17/01/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Cliteros, Source: Hds

    ... Quelques minutes plus tard je reçu un nouveau message :
    
    « Bon, je crois bien que je te dois un orgasme… ».
    
    Ne sachant pas si elle rigolait ou pas, je ne répondis pas, mais ce sms avait fini par briser les dernières barrières qui séparaient encore ma raison de mes fantasmes. Pendant que j’imaginais ce que pouvait donner un cunnilingus réalisé par Jade, je sentais que Marc avait également été très excité par cette situation, sa main ne tripotant plus seulement mes cuisses. Je conduisais donc il restait assez sage pour éviter un accident, mais je sentais clairement ses doigts glisser de temps à autre sur la dentelle humide de mon string, essayant quelques fois de passer en dessous. Alors j’ai commencé à imaginer la petite vengeance que j’allais réserver à Gabriel.
    
    Ainsi, quinze minutes avant d’arriver à mon appartement, j’ai simulé une envie très pressante et j’en ai profitée, accroupie entre deux portières alors que Marc était resté assis à la place passagère, pour envoyer un sms à Gabi :
    
    « Va sur le parking de la gare, celui tout au bout de la rue, avec les grands arbres. Cache-toi où tu peux à proximité de la place où on se gare à chaque fois. Dépêche-toi, tu auras une surprise ».
    
    Dix minutes plus tard, arrivant proximité de la gare, sans prévenir Marc j’ai bifurqué vers le parking.
    
    « Qu’est-ce que tu fais ? Tu m’invite plus boire un verre ?
    
    - Si, mais pas tout de suite.
    
    - Je ne comprends pas.
    
    - Tais toi ! »
    
    L’autorité dans ma voix me surprit ...
    ... moi-même encore plus que Marc. Je me suis garée sur la place soixante-neuf, devenue notre emplacement fétiche, puis jetant un œil sur mon téléphone que j’avais cette fois gardée précieusement hors de portée de Marc, je lus le message de Gabi : « Je suis planqué à dix mètres de notre place comme tu m’as dit, derrière trois gros arbres ».
    
    J’ai regardé les alentours à travers le pare-brise. Je savais que mon copain était tout proche, mais il était invisible depuis sa cachette, la pénombre qui prenait possession des lieux l’aidant encore plus. J’ai allumé l’éclairage d’ambiance intérieur de la voiture pour que Gabriel puisse voir distinctement ce qui allait se passer dans l’habitacle. Puis j’ai détaché ma ceinture et je me suis penchée vers Marc pour lui faire la bise, comme pour lui dire au revoir, en m’appuyant contre sa cuisse. Alors, laissant ma joue collée contre la sienne, j’ai glissé lentement ma main vers son entre-jambe. J’ai commencé à déposer de légers bisous un peu partout sur sa joue, me rapprochant de son oreille, pour la mordiller tendrement. Tout en déboutonnant le jean de Marc d’une main experte, libérant son sexe déjà érigé tel un énorme menhir, je lui ai murmuré à l’oreille un simple « merci beaucoup ». Puis sans lui laisser le temps de répondre, j’ai plongé vers sa bite dressée, à laquelle j’ai adressé avec appétit :
    
    « Humm coucou toi ! Toujours aussi belle et épaisse à ce que je vois… Je vais te bouffer ! ».
    
    Et je l’englouti d’une seule traite, la suça ...
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