La serveuse de l'hôtel (1) - Histoires de Sexe

La serveuse de l'hôtel (1)

... laissez-moi vous aider à tout porter jusqu’à votre chambre.

— Merci, mais je voudrais pas vous embêter.

— Non du tout, je viens.

Elle passe devant moi comme une invitation à la regarder, je reste bouche bée devant le spectacle de ses hanches qui bougent devant moi. J’ouvre la porte et elle pose mon repas sur la table.

— Bon appétit monsieur.

— Merci et surtout merci de m’avoir aidé.

— ll n’y a pas de soucis si vous avez besoin, je serai en bas, au revoir et à bientôt.

— Au revoir et je l’espère à bientôt.

Elle me sourit une dernière avant de disparaître en fermant la porte, la soirée se passe tranquillement, quand à 23 heures, j’entends toquer à ma porte. Je me demande d’abord ce qui se passe, mais ouvre rapidement et là c’est elle, la serveuse qui me dit : je peux ?

Sans rien dire, je me décale pour la laisser rentrer, ce qu’elle fait immédiatement, je laisse la porte ouverte, car je pense à tout sauf à ce qu’elle vienne, pour moi une aussi belle femme c’est impensable, mais elle ferme la porte à double tour et à peine retourné vers moi que le la plaque doucement, mais avec fermeté sur la porte avant de l’embrasser à pleine bouche. Nos langues jouent ensemble, on se caresse mutuellement de plus en plus intensément, toujours debout devant cette porte, je prends le bas de ses fesses dans mes mains pour la porter jusqu’au lit, je l’allonge et commence à lui faire des baisers dans le cou, sur le tee-shirt qu’elle s’empresse d’enlever, elle n’a pas de ...

... soutien-gorge, ses seins sont magnifiques, un 95C je pense.

Je la rallonge sur le dos en l’embrassant tendrement, elle passe ses mains derrière ma tête pour appuyer le baiser, c’est à ce moment que je décide de descendre doucement vers ses seins, je la vois fermer les yeux pour profiter de l’instant. J’arrive sur son sein droit, je lui lèche, embrasse, aspire, sa respiration se fait plus profonde, mais c’est quand je le mordille qu’elle a plus de réactions, elle commence à gémir doucement. Pendant ce temps, je lui déboutonne et descends la fermeture de son pantalon et passe mes mains en dessous pour lui attraper ses fesses, puis descends son pantalon et son string. Sa chatte entièrement rasée est là sous mes yeux, je lui lèche sur toute la longueur, elle gémit de plus en plus fort, on dirait presque des petits cris de jouissance, elle ondule le bassin pour mieux me sentir, attrape ma tête pour la plaquer avec force contre son vagin que maintenant je pénètre avec ma langue.

Quelques secondes comme ça, je passe sur son clitoris, mais ne laisse pas son vagin seul, mes doigts se mettent à la place où ma langue était dans cet antre du plaisir. Les va-et-vient se font de plus en plus rapides, et j’aspire son clitoris, c’est des vrais cris qu’elle fait maintenant sous ce plaisir intense, au bord de l’explosion, j’arrête tout.

Elle me regarde avec un air interrogateur, elle a peur qu’il se soit passé un truc, puis très vite en voyant mon sourire malicieux, elle a compris que ...