Nous deux et un autre dans les bois (1) - Histoires de Sexe

Nous deux et un autre dans les bois (1)

... une gorge profonde, je lime entre ses lèvres, quand soudain le bruit d’une voiture qui ralentit nous parvient !!!

Josette stoppe net sa démonstration de fellation en pleine nature, se relève un peu effrayée et dit :

— Merde une voiture, elle s’arrête là, on va nous voir !

— Non, c’est rien, un chercheur de champignon, continue ma puce, suce-moi bien !

Et là, j’aperçois mon visiteur qui descend de sa voiture garée près de la nôtre, il commence à venir dans le bois. Nous le voyons, mais pas lui !

Il a pris la mauvaise direction et se dirige dans la pleine forêt, Jo est soulagée.

Je lui dis :

— Allez il s’est éloigné ! J’ai trop envie de toi ma cochonne, tu m’as tellement excité avec ta bouche !!

— Et s’il vient, c’est fou ce qu’on fait ! S’il revient, il va tout voir, je suis nue. Il va voir ma petite chatte, mes seins !

— Tourne-toi que je te prenne par derrière en levrette ! J’ai trop envie !

— Cochon, ça t’excite de savoir qu’il peut me voir toute nue, qu’il voit mes seins, mes cuisses, ma chatte et qu’il nous voit baiser ?

— Oui, et toi aussi ma cochonne chérie, je sais que tu aimerais qu’il vienne.

— On est fous, c’est cochon ce qu’on fait.

— Tourne-toi, je vais te prendre en levrette ! Et s’il revient, tant pis, on l’invitera à baiser avec nous, il te mettra sa grosse queue bien au fond et jutera dans toi devant moi !

— T’es fou, tu ferais ça... me laisser le faire avec un autre, qu’il me baise ?

— Oui, pourquoi pas, c’est ...

... top excitant d’y penser, viens, donne-moi ta petite chatte et s’il vient, je le laisse te monter !

— Cochon, les hommes, vous êtes tous des cochons. S’il vient, tu l’auras voulu, s’il me veut, il me baise, j’ai trop envie !

— Tends ton cul que je t’enfile avant qu’il revienne et me fasse cocu !

Elle s’exécute et se tient à demi penchée à la souche de l’arbre. Je prends mon pénis en main et l’introduis dans ce sexe tout chaud et si humide ! Je constate que ce que nous venons de dire l’a excitée au plus haut point, car elle mouille abondamment ma chérie ! Un cri s’échappe de sa gorge quand je l’embroche à fond, mes couilles venant frapper ses fesses tendues :

— Humm... salaud, je la sens, elle est bien raide, tant pis si on est vus, c’est trop bon de faire ça dans ce bois ! S’il vient et me veut... tant pis, tu vas être cocu, j’ai envie d’une autre bite avec la tienne ! J’ai envie de sa bite !

Ma chérie est excitée, à point pour ce que j’ai envie qu’elle fasse. Je m’agrippe à ses hanches et attaque de longs et lents va-et-vient suivis de rapides, je m’enfonce bien à fond et tape très vite ses fesses avec mes hanches en ne sortant qu’un tout petit peu ma bite de son con. Je sais qu’elle raffole de cette position.

— Salope, t’aimes ça hein ! T’aimes te faire enfiler !

Elle gémit, se retient de crier, de hurler son plaisir. Elle râle cependant de bonheur et cela s’entend. La coquine le ferait-elle exprès pour guider vers nous l’inconnu ?

C’est trop bon et si ...