1. Nymphomane, moi ? Tome II (6)


    Datte: 16/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... montèrent et descendirent le long de la jarretière, en un lent manège qui me mit les nerfs à fleur de peau.
    
    Le visage congestionné, son regard lubrique remonta vers les pointes durcies de mes seins, il suça avec avidité mes bourgeons bruns gorgés de sang. Ses lèvres effleurèrent la peau, ma poitrine douce comme du velours, avant que ses dents ne se referment sauvagement sur mes pointes en érection. Une vive douleur partit du bout de mon sein et se propagea jusque dans mon ventre. Je geignis... Comme pour se faire pardonner, il se mit à me téter les seins à tour de rôle... Puis il m’embrassa tendrement dans le cou.
    
    Dézippant ma fermeture éclair, il fit glisser ma jupe jusqu’à mes genoux, la peau de mon bas-ventre apparut blanche et satinée. Son sexe se frotta doucement contre ma hanche. Il le fit passer sous la lanière du porte-jarretelles, le frotta sur ma cuisse. J’eus un mouvement d’abandon et ma jupe glissa sur le plancher, le long de mes jambes.
    
    J’étais maintenant offerte à lui, il pouvait voir sous mon string complètement transparent les lèvres de ma chatte imberbe. Je secouai ma tête de droite à gauche, les yeux mi-clos, les lèvres humides. Mes jambes se mirent à bouger sous la caresse de sa main, faisant crisser mes bas érotiquement.
    
    — Oui, c’est ça... ouvre tes cuisses ma chérie, encore... encore.
    
    Sa bouche se colla sur mon ventre tandis que sa main droite vint caresser mon pubis, sa langue lécha par petits coups la peau frissonnante de mon ...
    ... abdomen.
    
    La pression de sa main était lente et chaude, ses doigts frôlèrent mon pubis, malgré moi, mon mont de Vénus se tendit vers lui. Mes hanches furent prises de mouvements convulsifs que je ne pus contrôler.
    
    Ses doigts s’insinuèrent lentement entre le voile de mon string et ma chair, je poussai un long gémissement et écartai les jambes pour favoriser la progression de ses doigts. Je cambrai mes reins, jambes grandes ouvertes... lui offrant sans pudeur mon intimité.
    
    — Mais c’est qu’elle est entièrement rasée la petite Salope ! C’est parfait ça !
    
    Ma vulve trempée s’ouvrit et se contracta comme douée d’une vie propre. Tout mon corps appelait le membre qui en pénétrant mon conduit vaginal palpitant me délivrerait de cette intolérable attente. Ses grands doigts se glissèrent sous le fin voile du string, caressèrent ma peau lisse, et pénétrèrent dans mon sexe humide, il trouva la pointe de mon clitoris, qu’il décapuchonna. Il fit ensuite d’une main, descendre lentement jusqu’au sol, le string minuscule trempé par mon foutre.
    
    Sa langue titilla la petite excroissance qui s’érigeait fièrement entre mes cuisses, ce contact chaud et humide sur mon clitoris produisit en moi un émoi délicieux auquel je me laissai entièrement aller, des râles sortirent sans discontinuer de ma gorge. Je lui tins la tête pour ne pas qu’il cesse cette caresse divine.
    
    Son appendice buccal se plaqua contre mon sexe, il lécha plusieurs fois ma fente sur toute sa longueur, et tandis que par petits ...
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